[VINGT-QUATRE]

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𝐂𝐎𝐌𝐌𝐄 𝐏𝐀𝐒 𝐃𝐄𝐔𝐗

"Mes ennemis dans le viseur, goût d'mon sang sur les lèvres"

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"Mes ennemis dans le viseur, goût d'mon sang sur les lèvres"

MAËLLE POVLICHA

J'enfile mon manteau, bonnet et écharpe, je prend mon sac et mon téléphone et je quitte le bureau, je tire la grande porte et je vais prendre l'ascenseur, je marche dans le hall et je vois Nabil avec Tarik, je tape dans le poing du plus âgés.

Tarik - Elle est en rendez-vous ?

- Nope, son dernier rendez-vous est partie il y a cinq minutes, tu peux monter. Il fonce jusqu'au escaliers après avoir pris mon pass, je regarde Nabil.

Il est appuyé contre le comptoir du bureau et il discute avec l'hôtesse d'accueil, je m'approche d'eux et je retiens un rire en voyant le front de Nabil, il a encore une trace rouge.

Manon baisse la tête en me voyant, Nabil tourne la tête vers moi, je me mets à rire en voyant la trace rouge sur son front une fois son visage bien en face du mien.

Nabil - Pourquoi tu rigole ?

- Il a pas rater son coup.

Nabil - Vas-y c'bon t'vas ap commencer. Je rigole, je peux vraiment pas m'en empêché.

Je sens une main dans le bas de mon dos, je tourne la tête je vois Julian me sourire, il me fais un clin d'œil, je secoue la tête et je roule des yeux.

Julian - Bonne soirée ma belle. Il sort de l'immeuble, sa phrase était pleine de sous entendu.

A la pause il est venue manger avec moi, il a essayé de me parler de Nabil et comme je ne répondais pas, il n'est pas allé plus loin et on a changer de discussion, il le fais exprès pour m'énerver.

Nabil - "Ma belle" avec sa tronche de cake là, zebi. Je lève les yeux au ciel.

- À demain Manon. Je sors de l'immeuble et Nabil ne tarde pas à me suivre.

Nabil - Quand j'suis arrivé dans l'hall elle s'est ap gênée pour m'chauffer comme une chienne devant mon frère. Je crois qu'il se rend pas compte qu'il peux pas avoir de discussion entre « couilles » avec moi.

Je le regarde un peu et je pouffe de rire, on monte dans sa voiture mais il démarre pas tout de suite.

Nabil - On attend Maïsa et Tarik. Sympa, l'ambiance va être tendu. Ça s'est bien passé ta journée ?

- Oui nickel et toi ? Les portières arrière s'ouvre.

Nabil - Comme d'hab. Je m'attache et je prend mon téléphone.

COMME PAS DEUX Où les histoires vivent. Découvrez maintenant