[DEUX]

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𝐂𝐎𝐌𝐌𝐄 𝐏𝐀𝐒 𝐃𝐄𝐔𝐗

"L'histoire s'ra courte à mon avis, comme la dernière phrase de ma vie"

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"L'histoire s'ra courte à mon avis, comme la dernière phrase de ma vie"


MAËLLE POVLICHA
Le lendemain matin.


Je me réveille à cause du soleil qui tape contre mon visage, Maïsa a ouvert les rideaux en se levant, elle adore faire ça pour m'embêter, je me redresse sur mes coudes avant de pousser la couette, je m'assois sur le bord du lit.

Je passe mes mains sur mon visage avant de me lever doucement en m'étirant, hier soir je suis tombée dans les bras de Morphée après ma douche. Je me place devant la vitre, il y a pas mal de monde dehors aujourd'hui, à l'époque quand je venais, même si il neigeait ou faisait de l'orage il y avait toujours pleins de monde dehors.

Je quitte la chambre en enfilant mon peignoir, j'arrive dans le séjour et je vois Maïsa en train de fumer sur le balcon, je prend une cigarette et je la rejoint, je m'assois sur la chaise à côté d'elle après avoir embrasser sa joue.

- Tu travaille pas aujourd'hui ? Elle sursaute.

Maïsa - Nan j'me suis pris quelques jours de repos. Je hoche la tête et me pose à côté d'elle pour fumer ma cigarette.

- Ah ça s'est cool, on va pouvoir profiter à deux. Elle hoche la tête et on entends plusieurs voix dans l'appartement de Maïsa.

Je tourne la tête et je vois une dizaine de mecs déjà installés dans le canapé ou sur la table de la salle à manger, mon regarde balaye la pièce, je reconnais que Tarik.

On jette nos cigarettes par dessus la rambarde et on entre dans l'appartement, je sens d'un seul coup tout les regards vers nous, c'est archi gênant.

Tarik se lève, il me tchèque avant de taper la tête de Maïsa, je le regarde en fronçant les sourcils, ils commencent à se battre, j'étais prêt à lui défoncé sa race mais une voix m'empêche de le faire.

? - T'es qui toi sinon ? Je me tourne vers la personne qui me parle.

- Maëlle, la meilleure amie de Maïsa, toi ?

? - Nabil, l'frère à l'autre handicapé derrière toi. Je pouffe de rire.

Maïsa - AÏE ! On les regardes tous, elle se tiens la joue. MAIS POURQUOI TU M'AS MORDU ?!

Tarik - Désolé, tu sens l'bonbon, j'ai pas résister. On éclate de rire en voyant la morsure sur sa joue, elle pars dans la chambre en furie et Tarik la suis.

Les garçons se présentent rapidement avant de m'inviter à m'installer avec eux pour prendre le petit déjeuner, ils ont ramenés des croissants et des petits pains au chocolats.

COMME PAS DEUX Où les histoires vivent. Découvrez maintenant