•Chapitre 15•

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Avant tout, je voulais vous remercier pour les 300 vues, ça me fait vraiment plaisir 🥰🥰! Je vous laisse avec le chapitre ( qui est plus long que les autres)
Bisous ❤

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-Arrête Matteo !! Criais-je en rigolant.

Je suis actuellement sur l'épaule de Monsieur en sac à patate, alors qu'il courrait sur la plage.

Matteo : Pourquoi devrais-je arrêter ?

- Mmhhh parce que... Tu m'aimes ?

Matteo : Ce n'est pas une bonne raison.

- Mais mon amour que j'aime plus que tout s'il te plaît !

Matteo : Mmhh non.

Nos éclats de rire devaient s'entendre à des kilomètres. Nous étions seuls sur la plage, et profitons de cet instant de pur bonheur. Le soleil qui se reflétait dans la mer nous offrait un magnifique spectacle, bien que, de là ou j'étais, je n'en voyais rien. Tout ce que je voyais, c'était le sable et le dos de Matteo. Soudain, mon petit ami s'arrête. J'essaye de profiter de cet arrêt pour me libérer de son emprise, en vain. Je relève la tête, mais, sentant que je commençais à gigoter, Matteo reprend sa course. Sauf que cette fois, je sentais de petites éclaboussures sur mes pieds et je ne mis pas longtemps à comprendre que Matteo m'emmenait dans l'eau. Mes cris et éclats de rire se font plus fort, tandis que j'essayais tant bien que mal de descendre de son épaule. Enfin, il me reprit dans ses bras en mode princesse en me regardant avec amour. Un petit sourire malicieux se dessine sur ses lèvres et je comprend que ma fin est proche. Il me jette dans la mer et, quand je réalise ce qu'il m'arrive, je me dépêche de retenir ma respiration en remarquant que je m'approchais très rapidement de l'eau. Plouf. Je sors la tête de l'eau et lance un regard assassin à mon petit ami qui riait à gorge déployée.

- Matteo Balsano, si je vous attrape, vous êtes mort.

Je commence alors à nager pour rejoindre Matteo qui commençait à rejoindre le sable. Je me dépêche, quitte à être éssouflée, pour l'attraper avant qu'il ne rejoigne la plage. Il n'est plus qu'à vingt centimètres de moi et je me jette sur lui, m'accrochant à ses épaules. Il se relève d'un coup, et j'enroule mes jambes à sa taille pour ne pas tomber, ma poitrine contre son dos. Arrivés sur le sable, il s'arrête et je glisse contre son dos. Je me mets en face de mon petit ami qui me regardait d'un air moqueur, alors que je tentais d'être sérieuse. Je pris mon air faussement énervé qui fait que je ressemble à une petite fille de 6 ans et Matteo ne peut s'empêcher de rire à nouveau. Je tapais contre son torse, pas non plus trop fort, mais mon bel italien continuait de se moquer de moi. Je me retourne alors, dos à lui et croise mes bras sur ma poitrine, prenant un air boudeur telle une petite fille de 3 ans. Je suis très forte dans ce genre de rôle. Matteo vient se mettre en face de moi et relève mon menton à l'aide de ses doigts. Mon regard croise le sien et j'essaye tant bien que mal de ne pas exploser de rire.

Matteo : Mon cœur, tu vas quand même pas me bouder ? Dit-il doucement.

- Si ! Dis-je d'une petite voix.

Matteo : Bon d'accord... Mais je sais comment faire pour que tu arrêtes !

L'instant d'après, ses mains viennent se poser sur mon ventre et il commence à me faire des guilis. Je ne résiste pas une seule seconde et commence crier et rire en me débattant.

- C'est pas juste !

Il s'arrête. Enfin.

Matteo : Mais je t'ai fait rire !

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