/33/ Les épées du corridor

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Orion et Bazile vont à l'étage et longent le corridor qui mène à toutes les chambres. Le mur de ce couloir est couvert de différentes épées.

-Ton père a une belle collection...
-Il l'a commencée avant son mariage avec ma mère. Ce sont des épées de tout temps. Il ne compte pas pour les acquérir.
-Mmm. Très intéressant.

Et sur ce, il attrape Bazile par la nuque, la plaque contre le mur du corridor entre deux épées et vient l'embrasser avec fougue.
Leurs bouches se mélangent autant que les mains se perdent dans les cheveux et sous les vêtements...
Ils les entendent encore au rez de chaussée et Bazile se met à rire.

-Pourquoi ris-tu?
-On les entend, mais pas eux. On sait ce qu'ils font mais pas eux. Nous sommes au dessus, eux en dessous. J'ai la sensation d'être une déesse sur l'Olympe.
-Mais tu l'es. Tu es cette déesse...

Il l'embrasse encore puis vient couvrir son cou de baiser. Les baisers se transforment rapidement en suçons, puis en morsures.
Il presse l'une de ses cuisses avec force entre ses doigts et la lève doucement pour qu'elle l'enroule autour de sa taille, ce qu'elle fait.
Il colle sa bouche contre son oreille et murmure d'une voix chaude:

-Encore en robe...
-Je sais que tu aimes ça.
-En effet. J'aime n'avoir aucune barrière pour te toucher...

Sans prévenir il se baisse à genoux et met son visage entre ses jambes en plaçant sa cuisse déjà relevée sur son épaule. Il écarte sa culotte sur le côté et se met à embrasser, lécher et sucer avec délice cette intimité qui s'offre à lui.

Rapidement Bazile est trempée et sent sa jambe, sur laquelle elle tient, trembler. Malgré ses tentatives pour se contrôler elle finit par pousser un gémissement étouffer. Aussitôt Orion se redresse debout et pose sa main sur sa bouche pour la faire taire.

-Chut...

Et sans retirer sa main de sa bouche il baisse de l'autre sa braguette et sort son sexe gorgé de sang par l'excitation. Il relève sa cuisse encore un peu plus en enfonçant ses ongles courts dans sa chair et frotte son gland contre sa vulve humide avant de rentrer lentement son membre en elle.
Elle le sent rentrer et lorsqu'il arrive au bout elle ne peut retenir plus longtemps un autre gémissent incontrôlable. Il retire alors sa main de sa bouche pour la serrer contre sa gorge:

-Silence!

Et aussitôt il vient mordre sa lèvre inférieure comme un lion affamé en se retirant légèrement pour mieux la pénétrer encore. Il poursuit ainsi plusieurs mouvements de va et vient, alternant la vitesse et tandis que sa main gauche continue de l'étrangler il utilise sa droite pour stimuler son clitoris ou bien serrer et claquer sa cuisse qui vire rapidement au rouge.

Orion continue de la prendre dans ce couloir, contre ce mur orné d'épées qui se mettent à trembler à chaque coup de rein de sa part.
Bazile aime être emplie par lui, et elle se sent enfin vivante, comme si elle ne l'avait jamais réellement été jusqu'ici. Elle ne peut contenir son plaisir, physique et psychique, et à cause gémissement qu'elle ose pousser il la réprime d'une claque que la cuisse, d'un plus violent coup de rein ou d'un serrage plus assistant sur sa gorge. Mais elle aime tout ce qu'il lui fait, jusqu'au mois de detail, à la moindre sensation. Tout, tout est pour elle la chose la plus fantastique et merveilleuse qu'elle n'a jamais vécue...

Bazile Où les histoires vivent. Découvrez maintenant