/56/ Crispation incontrolable

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Plaquée contre ce froid rebord de lavabo, Bazile est pétrifiée.
Elle ne sait pas si elle en a envie ou non mais une chose est sure: lui en a envie et elle ne veut ni le décevoir, ni lui désobéir, ni sortir de cette pièce sans avoir calmée ses pulsions sexuelles qui ne peuvent être assouvies et que si lui la baise. Mais se faire sodomiser est-il vraiment un moyen efficace pour prendre du plaisir? Ça doit être sans doute le cas puisque tant de gens la pratique. Alors pourquoi pas elle?

Elle sent le gland d'Orion caresser sa fente et remonter jusqu'à ses fesses qu'il écarte alors d'une main tandis que de l'autre il guide son sexe. Il appuie contre son entrée et se met à s'introduire en elle, lentement.

Bazile se crispe de tous ses muscles et arrondi son dos. Ce n'est pas particulièrement douloureux mais vraiment étrange comme sensation et elle n'est pas à l'aise avec ça.
Il murmure:

-Respire.

Elle essaye d'obéir et de reprendre le contrôle sur elle même mais il s'introduit alors encore un peu plus en elle et cette fois cela lui fait mal. Elle pousse un petit cri et aussitôt il la bâillonne de sa main qui tenait sa nuque puis qui a écarté sa fesse.

-Tais-toi. Je te rappelle qu'en bas il y a toute une population.

Elle l'aurait presque oublié en cet instant.
Il lâche sa bouche et vient tenir de nouveau sa nuque, à la fois pour la maintenir en place et lui même se stabiliser.

Il la pénètre encore.
La petite douleur désagréable s'amplifie et Bazile ferme les yeux en crispant son visage et en serrant les dents et les points.

Plus il s'introduit plus loin, plus elle a mal et plus elle se crispe et donc la douleur augmente encore. C'est un cercle vicieux insupportable qui est en train de se jouer malgré elle et elle ne sait plus quoi y faire. Elle n'arrive plus à réfléchir et ne pense plus qu'à une chose: il est si loin en elle que si elle se detend il est peut être possible que ses sphincters lâchent et ça il en est hors de question. A choisir Bazile préfère largement la douleur à l'humiliation, surtout une telle que celle-ci. Elle a bien trop de fierté et surtout ne pourrait plus jamais regarde Orion en face après ça.

Une fois enfoncé entièrement en elle il marque une pose puis se retire juste suffisamment pour provoquer un mouvement de va et vient.
Cette fois la douleur n'est plus supportable, et peu importe qu'elle le déçoive! Elle dit d'une voix étouffée:

-Arrête, tu me fais mal.









-Arrête, tu me fais mal

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Bazile Where stories live. Discover now