Sans lâcher la nuque de la jeune femme, Orion relève de son autre main le jupon de sa robe et découvre ses fesses.
Bazile a toujours les jambes suffisamment écartées pour qu'il puisse se mettre entre celles-ci, et le haut de son corps est toujours allongé le long du lavabo, la joue collée contre la pierre froide.
Il vient alors caresser de son pouce sa fente et Bazile frémit. Il la titille et la caresse quelques instants jusqu'à ce qu'elle soit trempée puis remonte son pouce jusqu'à son anus. Aussitôt la jeune femme veut se redresser mais il appuie fermement sur sa nuque pour l'obliger à rester penchée.
-Attends, qu'est ce que tu fais?!
-Ne me dis pas que ton cul est vierge?...
Bazile ne répond rien mais son silence en dit long et ses joues s'enflamment.
-Comment cela est-il possible?
Et tout en disant cette phrase il la pénètre légèrement de son pouce.
Bazile pousse un gémissement de surprise et veut encore se redresser mais en est une nouvelle fois empêchée.
-Calme-toi. Le secret est de se détendre.
Plus facile à dire qu'à faire, car si elle n'a jamais fait ça auparavant c'est pour une excellente raison: toutes les peurs de Bazile à ce sujet, que ce soit au niveau de la douleur, d'un accident potentiel qui lui donnerait envie de s'enterrer six pieds sous terre, et de beaucoup d'autres choses.
Elle fait confiance à Orion et par dessus tout connaître ceci pour la première fois avec lui lui plairait en plus de ne pas vouloir le décevoir, mais elle ne peut pas non plus ignorer ses propres terreurs.
Il enfonce encore un peu plus son pouce jusqu'à faire passer la première phalange et Bazile pousse un minuscule cri en contractant tous ses muscles malgré elle.
-Crois-moi, il faut que tu te détendes. Respire.
Bazile obeit. Elle essaye de calmer son rythme cardiaque et de détendre ses muscles tout en prenant de longues et grandes respirations.
-C'est bien.
Il pousse encore un peu plus son pouce sans difficulté puis le retire.
Toujours vivante! Et il n'a pas hurlé alors de toute évidence son pouce est ressorti clean. Bon. C'est bien Bazile. Tu gères.
Mais alors elle entend le son de sa braguette descendre ce qui la crispe de nouveau.
Elle le sent frotter son sexe contre elle et à l'impression de n'avoir jamais autant appréhendé quelque chose de sa vie.
Il passe ses doigts de sa vulve à son anus pour le lubrifier avec son humidité, mais c'est insuffisant alors il crache dans ses doigts et y dépose sa salive puis il pose son gland à son entrée.
-Orion, tu es sur que...
-Arrête d'avoir peur. Tu ne vas pas te chier dessus.
Bazile ne sait pas si elle doit exploser d'un grand éclat de rire ou se dissoudre dans la honte. Elle choisit de garder le silence et de ne plus faire un geste, comme prise en flagrant délit.
-Détends-toi, souffle et laisse toi aller.
