-Alors vas-y... remets moi à ma place.
-Ne me donne pas d'ordre. Tu penses que cela te remettrait à ta place si je partais? demande-t-il en la lâchant et en reculant d'un pas.
Aussitôt elle le rattrape par sa chemise et le rapproche d'elle:
-Non! Pardon...
Elle le prend alors par la main et veut le guider ailleurs mais il la retient:
-J'aime ce couloir. Sa lumière, ses murs et son tapis... Mais c'est le genre à laisser de vilaines brûlures sur les genoux. Alors peut être que tu préfères quand même ailleurs...
-Non... ici c'est bien. Je n'ai jamais fait quoi que ce soit dans ce couloir, il est encore pur, il faut régler ça.
Elle veut alors retirer sa robe mais encore une fois il l'arrête:
-Tu as raison, elle est magnifique. Garde la.
Bazile sourit devant ce compliment et se met alors à s'occuper de ses vêtements à lui. Elle baisse sa braguette et fait glisser son pantalon à ses pieds ainsi que son boxer. Elle se met à le masturber de ses mains expertes puis le suce avec toujours cette envie de lui donner le plus de plaisir possible et que jamais il ne regrette de l'avoir choisie elle ou ne repense à la moindre de ses exs. Bazile veut être la meilleure à ses yeux, devenir irremplaçable et que son esprit finisse aussi hanté par elle que le siens par lui.
Orion sent le plaisir monter et arriver bientôt à son paroxysme. Mais avant que cela n'arrive il pose une main sur son épaule pour lui faire comprendre d'arrêter.
-Je veux jouir en toi, entre tes cuisses, et nul part ailleurs. Ni sur cette robe, ni dans cette bouche, ni dans tes mains.
Ces simples paroles font rougir Bazile et des papillons se mettent à voltiger de plus belle dans son ventre. La fellation qu'elle lui a donné et qu'elle le faisait se perdre, la excitée au point de la rendre particulièrement humide et qu'elle n'est qu'une envie: qu'il la prenne.
Il se baisse à genoux et appuie sur ses épaules de manière à la guider dans sa position et de la mettre à quatre pattes.
Il se place derrière elle, glisse son gland sur son intimité et rentre enfin en elle. Elle se met sur ses avant-bras et garde ses fesses bien en l'air le dos creusé tandis qu'il commence des allers retours.
Elle aime se sentir emplie par lui, comme enfin comblée de tous les vides de son âme.
Il enfonce ses doigts dans sa chair pour la tenir et la guider dans ses coups de reins qui se font de plus en plus rapides et violents. Et puis soudain il lui assène une fessée, si inattendue que Bazile pousse un petit cri de surprise. Quelques secondes plus tard il recommence, plus fort, et cette fois elle fait le dos rond par réflexe. Aussitôt il la saisit par les cheveux pour la cambrer de nouveau, sans cesser de la prendre comme il le fait, et une nouvelle fessée comme pour la punir d'avoir bougé.
Bazile n'a pas l'habitude de ce genre de relations intimes avec un homme, mais elle doit bien l'avouer, ce n'est pas pour lui déplaire... puisque c'est lui.
