Being A Kardashian 2. {JB}

Chapitre 64.

Point de vue Kendall Jenner Clarkson.

Après les rites officiels, la fête proprement dite enchaîna en douceur. La cérémonie avait duré exactement le temps escompté, ce qui avait permis au soleil de commencer sa descente derrière les arbres.

Dans les branches, les lampes brillaient, illuminant les fleurs blanches, quand Jordan me conduisit dans le jardin.

Le rythme se mollifia, cependant que la soirée et l'air frais nous enveloppait. Les invités s'amusaient sous la douce lueur des ampoules, et les amis que nous venions d'embrasser vinrent une nouvelle fois nous féliciter. À présent, nous avions le loisir de discuter et de rire.

Tristan : Félicitations, les enfants ! nous lança mon beau frère.

Sa femme, Koko, se tenait juste à côté de lui.

Jordan : Merci bro.

Khloé : La fête est réussie !

Kendall : Grave je suis trop contente ! C'est juste trop merveilleux !

Khloé : T'es magnifique !

Kendall : Merci bébé.

Tristan : Qu'est ce qu'il y a petit modèle ? dit le basketteur en regardant en direction de Kelsey qui arrivait vers nous.

Elle avait l'air trop affligée.

Kelsey : Vous n'auriez pas vu Justin ?!

Je regardais mon mari et on parlait en même temps.

Jordan and Kendall : NOON !

Elle nous regarda longuement puis hocha la tête.

Tristan : Moi non plus. Il est peut-être avec Hazel !

Kelsey : Non. Je vais l'appeler, dit elle en partant.

Automatiquement Khloé me pinça.

Kendall : Aïe ! Non mais ça va pas ?!

Khloé : Vous savez où est passé Justin ! Pourquoi vous lui faites ça elle va bientôt se mettre à pleurer !

Jordan : Justin va la demander en mariage, finit il par lâcher.

Je le savais ! On peut jamais le mettre dans la confidence !

Tristan : Quoi ?!

Kendall : Oui. Il est juste allait dans sa voiture chercher la bague.

Khloé : Oh godness !

Au même moment des amis de Jordan arrivèrent vers nous, sans doute pour nous souhaitez un heureux ménage. Je les reconnaissais vaguement.

Quand la femme qui ouvrait la marche, Valérie à en juger par ses boucles d'un blond vénitien, enlaça Jordan, je retins mon souffle. Elle était escortée par trois autres personnes qui me dévisageaient avec une curiosité non feinte : une femme aux longs cheveux blond clair et raides comme des épis de blé, et un couple brun dont la peau pâle était plutôt inquiètante. Tous quatre étaient si beaux que mon estomac se noua.

Valéri : Ah ! lança t'elle sans lâcher Jordan, comme tu m'as manqué !

Il rit et se dégagea habilement en plaçant ses doigts sur son épaule et en reculant d'un pas, comme s'il désirait mieux la regarder.

Jordan : Trop de temps a passé, Val, répondit-il. Tu as l'air en forme.

Valéri : Toi aussi.