Tome 1 « quand j'aime j'y met toute mon âme »
Tome 2 « on est ensemble, jusqu'à ce que l'amour nous sépare »
#1 feu (08/11/18)
(02/04/19)
(04/09/19)
#1 1995 (01/02/2019)
#1 Screw (30/06/19)
❤️
¡Ay! Esta imagen no sigue nuestras pautas de contenido. Para continuar la publicación, intente quitarla o subir otra.
Je n'avais pas l'intention de partir si tôt. Je terminais mon sac, mais partais me servir a boire avant d'aller au salon avec tout le monde. Ken ne semblait pas ravi de la décision, mais ne la commentais pas.
-Tu vas ou toi? je demandais a Moh
-Voir des potes ils m'attendent la
-J'vais faire comme si je te croyais
-J'te jure j'vais voir des potes
-Comment elle s'appelle?
-Qui? riait-il
-Ta meuf la. Tu me la présente bientôt?
-J'ai pas d'meuf moi tu sais bien disait-il, presque gêné J'te tromperai pas quand même
-Mais alleeeeeez dis moi le suppliais-je
-Eh lâches moi j'ai pas d'meuf riait-il
Il passait son bras autour de mon épaule et me tirait contre lui.
-J'te racontes bientôt bébé, wAllah
-Hm
Il enfilait sa veste, tchèquait tout le monde puis s'arrêtait à moi. Je descendais dehors avec lui.
-Tu forces meuf riait-il
-J'ai rien dis la me défendais-je
-Vas-y bientôt on s'capte une journée tous les deux
-D'accord
Son taxi arrivait, il embrassait mon front avant de grimper dedans, et je remontais à l'appartement. Framal et Doum's s'embrouillaient à propos de leur match et s'accusaient l'un et l'autre de tricherie, les autres étaient tous avachis sur les canapés, mi endormis. Je faisais un signe de tête à Ken, lui faisant comprendre que maintenant je voulais bien partir. On faisait un rapide tour du groupe pour dire au revoir, et descendions au parking.
-C'est qui la meuf de Moh? je demandais
-J'en sais rien moi, il a une meuf? genre une vraie meuf?
-Fais pas genre tu sais pas
-J'te jure j'sais rien bébé, mais à mon avis c'est pas du sérieux. Il a rien dit à personne en tout cas
Je ne relevais pas. De toute façon, j'allais tout savoir en temps voulu. Je prenais le volant et rapidement, on arrivait chez le grec. Ses pulsions semblaient s'être calmées, et lui comme moi étions fatigués. Nous nous endormions rapidement. Aux aurores, un martèlement lourd sur la porte me tirait brutalement du sommeil. Ken grognait et se retournait sans se lever, les martèlements continuaient.
