Chapitre 33: Le passé.

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Eh ~ voici un nouveau chapitre (que je vous avais promis de publier cette semaine) que j'ai écris parce que j'ai pensée que c'était intéressant de développer certaines choses pour ma trame et que vous puissiez comprendre quelques trucs, ce chapitre est faite pour ça.

J'espère qu'il vous plaira autant que les 32 précédents chapitres. J'espère que ma fiction vous plaît toujours. Si c'est le cas, n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez ce n'est pas obligée que ce soit une analyse de plusieurs phrases 😂

Sur ce, 

Bonne lecture 📖✨

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31 ans auparavant. Quelques part à Londres.


Il souffla las, regardant le plafond de sa chambre, il réfléchissait. Sa chambre était plongée dans le noir, uniquement les rayons solaires du lever du soleil se refléter à travers sa seule fenêtre de sa petite chambre. Sa chambre se composait seulement d'un lit, d'une table de chevet, d'un bureau près de la fenêtre et d'une immense armoire ainsi qu'une d'une bibliothèque; des étagères ornaient les murs pour que la chambre ne soit pas autant vide. Un lustre minuscule accroché au plafond faisait office de lumière. L'interrupteur se retrouvait à la droite de la porte d'entrée. Il n'y avait aucun poster au mur. C'était sobre.


Le jeune garçon de 7 ans, allongé dans son lit tourna la tête vers sa fenêtre qui était à l'opposé de son lit, illuminant sa chambre tout d'un coup, éloignant la noirceur totale de la chambré et plissa les yeux quand les rayons solaires qui se levaient rencontra ses yeux : l'éblouissant. Subitement, l'enfant entendit des cris provenir de l'extérieur de sa chambre et il se redressa par le brouhaha qui couvrait les murs du couloir à sa gauche.


C'était le quotidien à l'Orphelinat Mooren*.


En effet, il se réveillait très tôt par insomnie et il laissait ses pensées tergiverser jusqu'au levée du soleil avant qu'il n'entende les autres enfants de l'édifice courir dans le couloir. Dans quelques minutes, il entendra la porte grincer et s'ouvrir pour laisser place à la surveillante qui le ferait se lever.


Il attendit et il regarda du coin de l'œil la porte s'ouvrir. Il croisa le regard de la surveillante. Un visage ovale, une peau pâle et ses cheveux roux plaquées en un magnifique chignon tressés lui fit face avec un ravissant sourire. Elle portait son habituel tunique, c'est-à-dire une robe bleu-ciel avec un tablier blanc en dentelle qui recouvrait le devant de la robe. Elle portait des chaussures noirs et un collier en argent qui représentait une rose comme pendentif.


Clifford, c'est l'heure d'aller prendre ton petit-déjeuner. Tu vas voir, ça sera une ravissante journée, déclara-t-elle le sourire au lèvre et avec un timbre de voix joviale.


Beaucoup trop joviale pour Clifford qui plissa les yeux en voyant la joyeuseté de la surveillante comme une pile électrique.


Le jeune garçon hocha la tête et se leva du lit précipitamment. Il regarda du coin de l'œil sa fenêtre et souffla, la baissant et penaud, il sorti de sa chambre. Il arrivât au réfectoire en compagnie de la surveillante qui avait posé sa douce main contre son épaule droite, l'aidant à s'avancer et son regard grisonnant le scrutait avec bienveillance et tendresse. Dans le couloir, on pouvait déjà entendre les entrechoquement des fourchettes et des couteaux contre l'assiette et du brouhaha incessant de la cafétéria.


Allez, va t'installer, dit-elle calmement dans l'entrebâillement de la porte du réfectoire.


Clifford regarda les nombreux enfants attablés qui mangeaient avec joie et excitation dans le réfectoire avant de porter son regard sur la demoiselle qui l'accompagnait depuis le réveil. Il remarqua quelque chose de nouveau la concernant qu'il n'avait pas vu auparavant. Un tatouage était posé au niveau de son cou : deux étoiles l'une au-dessus de l'autre. Ses petits yeux ne pouvaient plus se détacher de ce sublime et petit tatouage discret que la surveillante c'était faite il y a quelques jours à peine. Le jeune garçon se demandait ce que cela signifiait pour elle ces deux étoiles qui s'opposaient parce que chaque tatouage était significatif pour la personne qui se faisait tatoué(e).


La surveillante, sentant le regard insistant de Clifford, baissa la tête et lui fit son sourire d'ange en fermant les yeux avant de les rouvrir promptement. Le poussant à y aller, Clifford se mit à s'installer à une des nombreuses tables de la cafétéria. N'entendant plus le brouhaha, Clifford releva les yeux et croisa ceux des enfants qui le regardait. Il déglutit en voyant le dégoût, la haine et le mépris que les enfants de l'Orphelinat lui portaient. Il déglutit et baissant immédiatement la tête dans son assiette, légèrement confus.


C'était son quotidien et sa commençait dangereusement à le blesser, à le bouffer.


À 7 ans, il ne comprenait toujours pas pourquoi autant d'enfant le détestait.


Qu'avait-il fait mal pour qu'il soit autant méprisé ?


Certes, il était timide et réservé alliant par ce fait là, le manque de confiance en lui, mais cela ne pouvait pas être les conséquences de la haine que lui portait les autres enfants sur lui ? Si ? Chaque jours, il essayait de comprendre le comportement désinvolte des gamins envers lui, mais il n'arrivait jamais à obtenir la réponse.


Après le petit-déjeuner, alors que les autres enfants se crapahutait pour aller à l'extérieur, Clifford se dirigea précipitamment à la petite bibliothèque de l'Orphelinat, se renfermant encore plus et restant ainsi tout aussi solitaire. Dans la pièce tamisée, Clifford circulait dans les rayonnages, touchant du bout des doigts, la tranche du livre pour lire les écriteaux ainsi que la mini-page titre du dos du livre, touchant parfois les mors et les nerfs du dos de l'ouvrage. Il adorait s'enfermer dans cette bibliothèque qui renfermait milles et uns mystères.


Se plongeant dans l'imaginaire des bouquins, le vocabulaire de Clifford s'enrichissait et 3son intelligence s'y développait jour après jours. Par le fait même, il s'éloignait progressivement des autres enfants qui le méprisait encore plus, lui créant une mauvaise réputation involontaire et incongrue, au sein de l'Orphelinat.


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*L'orphelinat n'existe pas que ce soit dans Percy Jackson ou dans la vie réelle. Je pense que c'était important de vous divulguer cette information. Je l'ai imposée dans mon intrigue et je l'ai créée de toutes pièces pour creuser le personnage de Clifford. De plus, si l'espace-temps n'est pas cohérente selon vous, je m'excuse d'avance. 


Si ce chapitre vous a plus et que vous aimez apprendre des choses sur le méchant que j'ai instauré dans ma fiction, je vous ferais un plaisir de dire qu'il y'en aura d'autres qui tombera comme ça. 

Percy Jackson et la couronne magiqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant