Percy Jackson et la couronne magique

Chapitre 54: Le solstice d'été

Voici, la suite de ma fanfiction pour me faire pardonner du retard que j'ai pris et de l'absence totale sur Wattpad. J'écris beaucoup de mon côté sans rien vous dire pour vous gardez la surprise de ce que je vais postée. Je vais relire pour retravailler une de mes anciennes fictions que j'écrivais en même temps que celle-ci et que j'ai légèrement mis en pause pour continuer d'écrire celle-là afin de vous la publier un jour sur Wattpad. Ça serait un tout autre registre, puisque ce sera complètement une partie de mon univers un peu comme mes deux tomes sur Secret et rien qu'un jeu, que j'ai écris originalement. :) 

Bref, assez blablatez, je vous laisse avec la lecture du jour. 

Je vous souhaite, tout de même, une merveilleuse lecture. 📖✨

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21 Juin. 14h45 pm.

Le temps était passé rapidement, sans qu'ils ne s'en rendent compte totalement, n'ayant plus l'heure présent. En tout cas, pour eux, ce n'était pas leur priorité pour le moment : ils avaient plus urgent. En effet, Percy sentait qu'ils ne leur restait pas beaucoup de temps avant de retrouver Alycia et peut-être même qu'il était déjà trop tard. Le silence qui les entourait n'était pas si bon que ça pour eux, l'angoisse, le stress et l'inquiétude étaient à leur paroxysme depuis qu'ils étaient sorti du mini-salon où ils étaient emprisonnés depuis tout ce laps de temps.

Le fait qu'ils soient autant vulnérables les inquiétait tout autant.

Percy

Le fils de Poséidon s'arrêtât net. Son souffle se coupa et il écarquillait les yeux quand il entendit une voix l'appeler. Il patienta quelques instants pour s'assurer qu'il n'avait pas imaginer quoique ce soit et n'entendant plus les pas de Percy derrière eux, Grover se retourna pour voir Percy debout, ne bougeant pas, comme un piquet.

—Percy ? Que se passe-t-il ? demanda-t-il en se rapprochant de lui.

—Chut, dit tout simplement son meilleur ami en amenant son index contre ses lèvres.

Grover fronça les sourcils et regarda les moindres faits et gestes de son meilleur ami qu'il devait protéger au péril de sa vie. Quant à celui-ci, il resta attentif à ce qui l'entourait et Annabeth l'observa de ses yeux marrons. Percy fixa les flammes des torches muraux qui crépitaient et brisaient le silence morose. Les flammes miroitaient dans les pupilles écumes du fils de Poséidon qui écoutait attentivement la quiétude du lieu des Dieux avant qu'une nouvelle voix brisait le silence avec plus de fermeté.

Percy

Non, il ne l'avait pas imaginé. On l'avait bel et bien appelé. Cette confirmation le prit de court comme il le soulageait. Il reconnaîtrait cette voix familière sans ambiguitée et ni hésitation. C'était, pour sûr, celle d'Aly'.

—J'entends Alycia...Elle m'appelle...Je le sens...Elle a besoin de nous, avoua Percy.