Tropes : NewRomance 🔞 Ennemiestolovers 🎭 Plottwist ✨ Age gap 📍 Papa célibataire.
¥ Connor Williams - soldat de vingt-quatre ans - a obtenu une permission pour le mariage de son grand frère, Théo. Et il pourra passer les fêtes de Noël en famille...
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Nos dernières heures...
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La façon dont réagit ou pense James est de temps à autre un mystère pour moi. Ou bien, c'est comme me le fait remarquer mon mari, c'est la différence de conditionnement entre un Marines et un civil. Nous ne répondons pas aux mêmes règles.
Par contre, là où nos esprits et nos corps tombent entièrement d'accord, c'est quand on baise. La position que vient de prendre James en glissant sous le meuble tout en restant à genoux a forcément exposé son cul à mon regard. Ce dernier est surélevé juste, ce qu'il faut pour que je m'enfonce en lui sans aucune difficulté. Ses jambes sont entrouvertes pour garder une certaine stabilité, ce qui me permet de me placer entre elles.
— Mon mari se refuserait-il à moi ?
— Je me cogne la tête et c'est toi qui pars dans des délires totalement loufoques.
Sa voix est moqueuse, même si elle est quelque peu étouffée par la commode qui trône au-dessus de son crâne. Pour finir de le rallier à ma cause, je promène mon gland – sur son œillet en fleur – gainé de cette capote, que j'ai retrouvé dans le tiroir de ce meuble qui bloque mon homme. J'aurais tellement aimé m'en passer. Ses fesses tremblent à chaque caresse que je leur accorde. Et ses gémissements sont en totale contradiction avec ce qu'il exprime.
— Décide-toi ! Tu préfères écouter qui ? Ton esprit de rébellion ou ton corps soumis à mon bon vouloir ?
— Est-ce que je t'ai donné l'impression d'avoir l'âme d'un soumis ?
— L'âme non ! Mais le cul, oui.
Je lui assène une tape sur la fesse avant de pousser un peu mon gland à l'entrée de son fondement et sa réponse fuse.
— Va te faire foutre, Soldat !
— Là en l'occurrence, c'est toi, mon cher mari, qui est sur le point de te faire démonter !
Mon rire moqueur ravive sa colère et James tente tout ce qu'il peut pour me déloger de son arrière-train. Il rue tel un étalon sauvage qui ne veut pas se laisser dompter.
— Du calme, Amour. Tu vas finir par te blesser. C'est bon ! Tu as gagné.
Je recule. Le vide de sa peau se ressent aussitôt. Ce n'est pas dû seulement à mon retrait d'entre ses fesses. Son corps, sa chaleur, son odeur me manque à un point que je vais devenir dingue juste en pensant que, d'ici deux heures, je n'y aurais plus accès. Assis sur le sol, je replie mes jambes contre mon buste et les encercle de mes bras. La tête posée sur mes genoux, je tente de refouler cette angoisse, qui n'en finit pas de monter, d'étreindre ma gorge comme si chaque minute un cran se resserrait en écrasant un peu plus ma trachée.
