L'arc et l'épée (BxB)

AFK La guerre est déclarée

Lorsque Cyril entendit la cloche sonner, il quitta le confort de son fauteuil et roman. Il salua d'un léger sourire la bibliothécaire et ce dirigea vers son casier. Il entra le code de son cadena et glissa ses doigts pour soulever le locket. Il sentit quelque chose de visqueux et collant et retira ses doigts pour observer une substance brun clair. Il l'approcha à peine de son visage qu'il repoussa sa main le plus loin de son corps. Du beurre d'arachide. Mais on essayait de le tuer?

Il observa autour de lui comme à la recherche de la réponse absolu. Puis se remit son cadena avant de se diriger vers une salle de bain. Il se nettoya la main à grand jet, savonnant bien. Ses dents était serrer par la rage, mais la panique avait gagner ses yeux qui s'humidifiait. On essayait de le tuer.

Il entendit la seconde cloche sonner, mais ne s'en préoccupa pas. Il avait une petite idée du trio responsable et il allait se venger. Il se regarda dans le miroir et commença à respirer de plus en plus fort. De plus en plus rapidement. Il se força à laisser une larme ou deux couler et sourit. Parfait.

Il laissa son sourire mourir, reprit une respiration inquiétante et se dirigea vers le bureau du directeur. Il cogna avant d'entrée sans attendre d'être inviter. Il déposa le plat de sa main sur son torse et prit de grande respiration. Le directeur l'observa entrer avant de ce lever paniquer.

"Cyril, vous allez bien? Que ce passe-t-il."

Mais Cyril continuait de respirer lourdement, comme s'il cherchait son air. Comme si chaque bouffée était un bonheur absolu.

"Du beurre d'arachide." Tenta-t-il entre deux bouffée.

"Vous avez votre épinéphreine? J'appelle une ambulance."

Il se recula pour tendre la main sur son téléphone, mais Cyril parla.

"Pas la peine. Je ne l'ai pas manger... Juste sentit et sur ma peau... la réaction est moins pire. Ça devrait ce calmer."

Pour montrer son point, il diminua l'exagération de sa respiration. Et le directeur inquiet hésita avant de le rejoindre et l'aider à s'asseoir sur une chaise.

"Que c'est-il passer?"

"Quelqu'un a mis... du beurre d'arachide sur le locket... de mon casier. J'ai mis... la main dedans." Dit l'adolescents coupant sa phrase de grande respiration. "On a essayer de me tuer."

"Rester là et prenez de grande respiration."

Puis il quitta le bureau. Quelques secondes plus tard l'infirmière entra pour regarder Cyril.

"Réaction allergique? Montrez moi votre épinéphreine juste au cas."

Il le sortit tentant malgré tout de la rassurer.

"Ça va. Je ne l'ai pas manger. Je respire déjà beaucoup mieux. C'est l'odeur. C'est pas mortel, juste angoissant." Dit Cyril tenta un léger sourire.

"Vous êtes un battant. Le directeur est aller voir l'agent de sécurité, pour regarder les caméras. Avez-vous une idée du coupable."

Cyril prit une dernière grande respiration avant de ce dire qu'il avait assez jouer la comédie.

"Non. Trop de gens me déteste ici."

"Je suis sûr qu'il y en a plein qui vous aimes."

"Aucun. On s'y fait et de toute façon, je ne l'ai aime pas plus. Mais maintenant que j'y pense, le garçon qui ma fait un croche-pied la semaine passer. Sa copine ma menacer la semaine dernière. J'ignore si ses eux, mais c'est les derniers avec qui je me suis embrouillé."

"Son nom à sa copine?"

"Megan."

"Bien, je le dirais au directeur de surveiller particulièrement eux sur les caméras. Tu te sens assez en forme pour retourner à ta classe?"

"Je crois."

Elle le laissa quitter et se dirigea vers son casier où le concierge s'occupait déjà de nettoyer. Il offrit un sourire au jeune lui demandant d'attendre encore un peu, puis lorsque tout fut enlever le laissa l'ouvrir pour prendre ses livres. Il le referma en soupirant et ce dirigea à sa classe. Après le cours d'un ennui mortel, il se dit qu'il pourrait retourner voir le directeur savoir l'avancement de l'enquête.

Il se dirigea donc à son bureau pour en voir la rouquine sortir. Dire qu'il y a quelques semaines, ils ne se parlaient même pas. Comment tout à commencer? À oui, il l'observait de loin jugeant que Yannick n'avait pas de goût en matière de copine. Puis elle c'était mis à l'insulter gratuitement. Clairement elle qui avait commencer, car jamais il n'aurait été la voir pour l'envoyer chier sans raison. Il ne faisait que la regarder. Il s'arrêta devant celle qui avait allumer le feu de haine, prêt à lui déclarer la guerre.

"Tu es conne ma parole? Vous avez vraiment oublier qu'il y avait des caméras dans le couloirs du lycéen?" Lui signifia-t-il.

"Tu sembles en pleine forme pour quelqu'un qui a soi-disant frôler la mort."

"Je suis bon acteur." Lui répondit-il avec un sourire mauvais.

"Alors ta rien eu?"

"La prochaine fois que tu essai de me buter, assure toi que je l'ingère."

"J'ai pas essayer de te buter! Je voulais juste te prouver que je pouvais être dangereuse aussi, alors de fermer ta grande gueule."

"Dommage, ça va faire l'effet inverse. Ma langue sera aussi coupant qu'une épée avec laquelle je détruirais toute relation que tu tentera de créer." Cyril observa les couloirs remplit d'élève de toute année confondu. Il sourit avant de regarder la fille. "Dit moi, tu utilises encore du sperme comme crème de nuit contre les boutons? Car ça semble pas marcher." Dit-il en montant le ton.

La fille tourna blême et la rage parut sur son visage pendant que plusieurs personne se tourna vers eux pour les dévisager.

"J'ai jamais..."

"Mais tu y a penser."

La fille semblait complètement déboussolé.

"Nie le si tu veux, mais je connais des trucs encore plus glauque que ça sur toi et si la plupart vont te croire quand tu leur diras que c'est complètement faux, les autres vont se poser des questions et vont parlez dans ton dos."

La fille ne savait plus quoi dire. Elle était paralyser face à la menace. Cyril lui sourit gentiment.

"Je gagnerais cette guerre, alors reste dans ton trou et viens pas au front où je me trouve en permanence."

Il tourna les talons et partit vers son casier. Il avait déclarer la guerre, si elle oserait y répondre, elle en mourrait.