Dans un monde apocalyptique où règnent le chaos, les maladies et les guerres, Mila sera confrontée à l'horreur quand elle aura le malheur de croiser la route de celui que l'on appelle le siffleur. Le grand, puissant et psychotique Negan.
Elle pensa...
– Je vois... marquant une pause avant de reprendre. Écoute bonhomme. La nuit va bientôt tomber. On devrait manger. Ensuite on préparera nos affaires et on ira se coucher. Une longue journée nous attend demain, lui souris-je.
– D'accord, me souriant en retour. Je vais mettre la table, se précipitant vers les placards.
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Tandis qu'il s'apprête à sa tâche, je prépare le repas de mon côté. Une fois que tout est prêt, nous mangeons, puis une fois terminé, nous débarrassons avant de faire la vaisselle et rangeons un peu la maison, avant de la quitter pour de bon cette fois-ci.
Nous avons pris une douche rapide, puis avons préparé nos affaires afin de les charger dans le coffre de la voiture. Du moins le plus gros. Nous garderons avec nous un sac à dos avec des vivres, de l'eau, une torche et le nécessaire de survie, au cas où.
Il fait déjà nuit quand nous montons nous coucher. Zac n'a pas tardé à s'endormir tandis que moi, je monte la garde étant donné que de plus en plus de rôdeurs arrivent dans notre ville. C'est comme s'ils étaient en pleine migration.
Le soleil commence à se lever lorsque je réveille mon fils.
– Allez Zac. Il est temps, lui caressant la joue. Il faut qu'on parte. Lève-toi mon grand.
– Maman, se frottant les yeux. Je suis fatigué.
– Tu dormiras dans la voiture, lui souriant. En attendant, on va descendre petit déjeuner. On ajouter quelques vêtements propres dans nos sacs à dos, ensuite prendra une douche rapide avant de partir.
– D'accord, se levant. Premier à la salle de bains, me sourit-il.
– Comme tu voudras. Tu n'as qu'à prendre ta douche maintenant, en attendant, je vais te préparer le petit déjeuner, lui ébouriffant les cheveux avant d'embrasser le haut de sa tête.
– Hum, filant à sa chambre prendre de nouveaux vêtements.
Il me rejoint un quart d'heure plus tard. Il prend un bon petit déjeuner et part ensuite se brosser les dents. Autant en profiter, car tout ça sera un luxe qu'on aurait plus en quittant cet endroit. C'est pas grave, car tout ce que je fais, je le fais pour le bien de mon fils et peu importe les concessions et le confort que l'on perdra. Ce n'est rien en comparaison du bien-être de mon enfant.
Une fois prêts, nous nous apprêtons à quitter la maison. Je retire alors le meuble de devant la porte et au moment de l'ouvrir, une horde de rôdeurs se jette sur nous..
– Merde ! Zac ! Monte à l'étage. Vite, tentant de refermer la porte comme je le peux. File dans ta chambre, planque toi dans ton placard et n'y sors pas tant que je ne suis pas venue te chercher. Compris.
