Dans un monde apocalyptique où règnent le chaos, les maladies et les guerres, Mila sera confrontée à l'horreur quand elle aura le malheur de croiser la route de celui que l'on appelle le siffleur. Le grand, puissant et psychotique Negan.
Elle pensa...
⚠️ATTENTION. CHAPITRE TRÈS FORT EN ÉMOTIONS. J'AI CHIALÉ COMME UNE M**** EN LE CORRIGEANT⚠️
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Je fixe James et lance un regard vers Negan qui ne comprend pas du tout ce qu'il se passe.
– Accorde-moi une minute s'il te plaît James. Je te retrouve chez toi, dis-je, en plongeant mon regard dans le sien.
Il me répond par un signe de tête, murmurant : fait vite. Je referme aussitôt la porte et me dirige vers Negan.
– Blondie. Qu'est-ce qui se passe ? demande-t-il en m'observant, complètement incrédule.
– C'est Zac, réponds-je, laissant couler une larme le long de ma joue sans que je puisse la retenir. Il est en train de mourir.
– Quoi, me regardant, sous le choc de la nouvelle. Putain, de quoi tu parles ?
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– Écoute, prenant ses mains dans les miennes. Zac est malade depuis sa naissance. Avec James, on savait qu'il finirait par nous quitter parce que jusqu'à ce jour, il n'existe aucun traitement pour le guérir. Je... Je suis désolée. Il faut que j'y aille, laissant glisser mes mains des siennes avant de quitter la maison.
Je rejoins James chez lui. J'entre sans frapper.
– Où est il ? m'adressant à James.
– Au premier. Dans sa chambre.
– Bien, dis-je, essayant de retenir mes larmes pour me montrer forte pour mon garçon.
Même si j'ai mal à en crever et que j'ai la sensation qu'on est en train de broyer littéralement mon cœur, je n'ai pas le choix. Je dois prendre sur moi afin que mon petit garçon puisse se souvenir de sa maman, comme quelqu'un de forte, de souriante et d'aimante.
– Mila. Hey, intervient James, me tendant la main. On doit y aller, plongeant son regard dépité dans le mien.
J'attrape la main qu'il me tend et le suis à l'étage afin de rejoindre notre fils.
– Hey, un léger sourire sur les lèvres. Salut mon grand, m'asseyant sur son lit près de lui, mes yeux brillants par des larmes qui menacent de couler à tout instant.
– Maman, articule-t-il difficilement, se blottissant d'instinct contre ma poitrine. J'ai mal. Mon corps tout entier me fait mal.
– Je sais mon ange, le serrant contre moi d'une main, tandis que l'autre caresse le haut de sa tête. Tout ira bien Zac. Je te le promets, embrassant le haut de son crâne alors qu'une larme coule le long de ma joue. Avec papa, on va te tenir compagnie d'accord, dis-je avant de sécher ma larme et de reprendre contenance pour lui faire face.
– D'accord, répond-il, me souriant faiblement.
Quand je vois son visage, je suis choquée de voir à quel point il a perdu de sa vitalité et de sa couleur. Il a les traits tirés et des cernes immenses. Sans parler de ses lèvres craquelées par la sécheresse de celles-ci.
