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Imagine hors-série meilleurs amis Nash Grier ( Marie )

Imagine hors-série

Tu étais tranquillement assise sur ton lit, les jambes croisées en tailleur. La lumière du crépuscule baignait ta chambre d'une douce lumière orangée pendant que la brise douce et chaude qui passait par la fenêtre ouverte faisait bouger doucement les rideaux en fin tissus, et son chant se mêlait aux notes qui sortaient ta guitare. Tu pinçais doucement les cordes, te laissant emporter par la douceur de la musique. Tu étais enfermée dans ta petite bulle que rien ne pouvait faire éclater.

Enfin presque rien.

Tu sentis soudain un liquide froid couler dans nuque puis couler le long de ton cou et il tacha ta chemise. Une seconde à peine plus tard, des petits morceau d'un solide froid tombèrent sur ta nuque, provoquant une vive sensation de brûlure qui ne dura qu'un millionième de secondes, avant qu'ils ne tombent dans ton dos, sous ta chemise.

Instinctivement, tu poussas un cri et tu te retourna pour voir qui venait de renverser de l'eau glacée et des glaçons dans ton dos. Tu vis alors Nash Grier, ton meilleur ami, rire aux éclat, et avec un verre vide à la main. Ses cheveux brun étaient en pétard et ses yeux bleus brillaient de malice.

- Nash ! crias-tu en essayant de le taper. C'est pas drôle !

- Pour toi peut-être mais pour moi si ! Si tu avais entendu le cri que tu as fais Marie, c'était juste hilarant !

Et il ria encore plus fort. Tu ne l'avait pas entendus rentrer. Peut-être qu'il était rentrée par la fenêtre ? Après tout il avait l'habitude se grimper sur le tuteur pour les plantes grimpantes que ta mère avait installé le mois dernier. Tu déposas ta guitare au sol, pris alors les glaçons qui étaient tombés de ta chemise et le lança sur lui. Bien que surpris, il réussit quand même à te maîtriser, pendant que tu tentais de mettre les glaçons sous ton t-shirt. Mais Nash tenait fermement tes bras et les éloignait de plus en plus de lui, et il était bien plus fort que toi. Mais tu réussi malgré tout à mettre les glaçons dans le col de son t-shirt. Il fit un bon en arrière.

- Connasse ! hurla-t-il.

- Tu n'avais pas à me verser de l'eau dessus, répliques-tu avec sarcasme.

Nash se jeta alors sur toi, et vous tomber les deux sur le lit. Tu riais aux éclats, presque aux larmes, pendant que lui te regardait avec un sourire et un regard moqueur.

- On va se promener ? demande-t-il.

- Bonne idée !

Vous sortez alors de ta chambre et vous aller dans le jardin. Comme vous habitez tous les deux à Los Angeles, ton jardin possède une petite porte en bois qui donne directement accès à la plage. Nash t'ouvrit la barrière, et, comme un gentleman, t'invite à passer devant lui. Une fois sur la plage, vous vous promenez et tu te souviens alors comment vous vous êtes rencontrés.

Tu venais d'arriver à Los Angeles, tu avais à peine 5 ans. Tu venais d'une petite ville de la Nouvelle-Angleterre, et passé de la côte est à la côté ouest et d'une petite ville à une mégapole, ça avait provoqué un véritable tsunami intérieur. En arrivant dans ta nouvelle école, tu n'avais pas beaucoup d'amies, car pour elles tu étais une "plouc". Elles te faisaient les pires crasses possible, un jour elles avait même mit ta peluche préférée en pièce. Tu avais pleuré toutes les larmes de ton coeur ce jour là, et c'est là que Nash est arrivé. Il t'avais consolé et donner le doudou à sa mère qui l'avait rapiécer en peu de temps. Depuis ce jour-là vous êtes devenus inséparables, toujours en train de faire les 400 coups. Et même 12 ans plus tard, vous continuez à être des grands enfants.

Tout en marchant sur le sable fin, vous parliez entre vous de vieux souvenirs.

- Tu te souviens de quand tu as trébuché et tu es tombée tête la première dans ton gâteau d'anniversaire ?

- Trébuchée ? répètes-tu. C'est toi qui m'avait fait un croche-patte. Espèce de menteur !

Tu lui lanças du sable avec ton pied mais il l'évita sans peine.

- Alors comme ça, je suis un menteur ? demanda le beau brun.

- Exactement ! tu voulus le chatouiller, mais il esquiva encore une fois.

- Et toi tu es une vilaine fille Marie, te dit-il avec un sourire narquois collé sur le visage. Et tu sais ce qu'on fait aux vilaines filles ?

- Non.

Il ne te répondit pas, et fonça sur toi. Tu n'eus même pas le temps de comprendre ce qui se passait que tu te retrouvais sur l'épaule de ton meilleur ami, comme si tu étais un vulgaire sac à patate. D'abord, tu ne savais pas ce qu'il te préparait, mais quand tu le vis avancer vers l'eau, tu commenças à lui marteler le dos avec tes petits poings.

- Nash non ! Fais pas ça ! Nash ! criais-tu.

- Désolé, mais tu as été une vilaine fille Marie. Et je dois punir la vilaine Marie.

Tu continuas de le frapper pour qu'il te lâche, mais cela lui faisait autant d'effet que si tu avais la force d'une mouche. Quand tu vis les vagues, tu redoublas tes coups, mais il continua à avancer dans l'eau. Finalement, quand l'eau lui arriva aux genoux, il s'arrêta et resta immobile pendant un moment, et tu n'osais plus respirer. Croyant que finalement il n'allait rien faire, tu te détendis légèrement. Mais tu sentis ses mains sur ta taille et tu fus jetée dans l'eau, toute habillée. Tu remonta bien vite à la surface et tu vis alors que Nash riait comme un idiot.

- Idiot ! crias-tu.

- Je t'avais prévenu Marie, dit-il entre deux rire, je punis les vilaines filles.

- Tu vas voir ce que je vais faire au vilain garçon moi !

Et tu lui envoyas une gerbe d'eau qui lui éclaboussa la figure et le torse. Il arrêta aussitôt de rire et te regarda avec ce regard qui voulait dire " ok ! Tu veux la guerre, tu vas l'avoir la guerre !" et il t'envoya à son tour une gerbe d'eau, et cela se termina en bataille d'eau de mer.

Après vous s'êtes envoyé de l'eau pendant 45 minutes, vous reveniez tous les deux sur la plage, trempés de la tête aux pieds, mais le sourire aux lèvres. La nuit était tombée et tu décidas de rentrer. Une fois chez toi, vous prenez une douche et vous vous effondrez sur ton lit comme des loques, épuisée par votre soirée.

- Tu dors ici ? demandes-tu.

- Bien sûr, te répond Nash, j'ai plus de force pour marcher jusque chez moi.

- Feignasse, te moques-tu en lui donnant un coup de coude.

- Toi même !

Tu souris et te blottis contre Nash. Tes paupières étaient de plus en plus lourdes.

- Bonne nuit Nash.

- Bonne nuit Marie.

Et tu t'endors paisiblement dans les bras de ton meilleur ami de toujours.

Et voilà ton imagine Marie, j'espère qu'il te plait :)

Beth XOXOX