Préférence 5SOS

Imagine Cute Calum ( Raquel )

  Tu sautillais sur place sur le porche de la maison de Calum. Tu venais juste de sonner mais personne n'était encore venu t'ouvrir. C'était un jour spécial pourtant, cela faisait 17 ans que tu connaissais Calum. Ton meilleur ami de toujours.

  Enfin la porte s'ouvrit, sur le visage de ton néo-zélandais, aux cheveux qui ne ressemblaient à rien et avec des yeux bouffis par la fatigue. Mais dès que tu le vois, tu te jette dessus. Tellement fort, qu'il n'a pas le temps de réagir que vous tombez dans son hall, mais tu t'en fiche.

  - CALUMMMM !!!!!!! Je suis trop contente de te revoir !

  - Salut Raquel, souffle-t-il de sa voix rauque du matin.

  Calum c'est ton ami d'enfance, ton meilleur ami et ton confident. Vous vous êtes rencontrer à la maternelle, tu étais la plus jeune et les plus grands ( surtout des garçons ) n'arrêtaient pas de te faire des misères. Jusqu'au jour où Calum s'est interposé entre un groupe et toi, depuis vous êtes IN-SE-PA-RA-BLE. Tu avais tout fait avec lui, des vacances au ski, une semaine dans la maison de plage de tes parents rien que tous les deux. Tes parents t'avaient même emmener jusqu'à Disney World en Floride. Quand tu avais dut déménager pour aller vivre à Londres avec tes parents, tu avais été très affecté de quitter Calum et lui aussi avait été triste de te laisser partir. Mais à présent, cela faisait trois mois que tu étais revenu en Australie pour tes études, et que tu avais revu Calum. Pour marquer le coup vous avez décider de passer une journée entière rien que tous les deux. Comme quand vous êtiez petits, à tous les coups vous alliez vous rappeler d'un tas de souvenir.

  Tu te releva et aida Calum à faire de même. Une fois qu'il fut coiffé et habillé, vous sortiez de chez lui et direction le centre-ville. Ce fut journée quasi parfaite, toi et Calum aviez été faire un tour à la fête foraine qui se trouvait pas très loin du port, et tu avais fait toutes les attractions à sensations, au grand desespoire de Calum. Il avait toujours voulut te protéger, mais parfois un peu trop, mais bon pour toi cela voulait juste dire qu'il tenait à toi. Après avoir fait toutes ses attractions vous êtes monter sur la grande roue. Depuis votre cabine vous aviez une vue magnifique sur l'horizon et l'ocean qui brillait sous les rayons du soleil de midi. Calum se tourna vers toi.

  - Et sinon Raquel, ça se passe comment tes études ?

  - Oh ça va, réponds-tu, les cours sont bien et les profs sont sympa. Et toi, quoi de neuf depuis la dernière fois ?

  - Je suis amoureux d'une fille.

 Aussitôt, et tu ne compris pas pourquoi, tu sentit ton coeur se serrer et une désagréable sensations s'emparer de ton ventre. Tu perdis toute la joie que tu avais ressentit jusque là. Mais tu ne savais pas pourquoi. Pour toi Calum c'était ton meilleur ami, ton frère. Alors pourquoi te sentais-tu mal quand il t'avais avouer qu'il était amoureux d'une fille ? Peut-être que tu éprouvais plus que de l'amitier pour lui ? Non impossible ! Tu ne pouvais pas, ça faisait trop cliché. 

  - Eh Raquel ça va pas ? demanda Calum.

  - Hein ?!

  Tu releva la tête vers lui et tu constata qu'il te regardais avec inquiètude. Et, comme si il lisait dans tes pensées, il se rapprocha de toi en passant son bras autour des tes épaules. Touchée par son geste, tu posa ta tête sur ton épaule. La grande roue termina son tour et vous descendiez de votre cabine, son bras toujours sur tes épaules.

  - On va sur la plage ? te demanda-t-il ?

  - Euh oui pourquoi pas, réponds-tu avec une voix lointaine.

  La plage c'était la que vous allier à chaque fois que l'un de vous deux allait mal. Vous aviez trouver un petit endroit calme ou personne ne venait jamais, le bruit calme du vent et des vagues vous appaisaient. C'était donc l'endroit parfait, votre petit paradis sur terre. En allant en direction de la plage, tu vis passez un couple qui se tenait par la main, et tu ressentis aussitôt de l'envie. Une fois arrivé à la plage, vous avez retiré vos chaussures et vous vous êtes assis sur le sable. Au début personne ne parla, mais tu décida de finalement briser le silence.