On parie bad boy ? - Bad Boy Tome 1

Chapitre 31

Désolé d'avoir mis autant de temps ^^

Du lemon (scène osée) dans ce chapitre, il sera indiqué pour les personnes ne souhaitant pas le lire.

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PDV Matt

Je me précipite vers elle, mes mains encadrant son visage et mes pouces essuyant ses larmes.

- Mon ange, qu'est-ce qui se passe ?

Entre deux reniflements, j'entends ses paroles, qui me brisent le cœur.

J'ai peur.

Je ne perds pas une minute et la serre dans mes bras. Putain comme je peux devenir fleur bleue quand elle est là. Mais je ne peux pas m'en empêcher. Je ne peux pas supporter de la voir mal.

- C'est fini, n'ai pas peur.

Elle essuie difficilement ses larmes et me regarde avec ses yeux rouges. Même comme ça elle reste magnifique.

Amoureux.

Ta gueule conscience, merci. Ouai non pas merci, juste ta gueule. Revenons à Lucy.

D'une voie douce elle me murmure :

- J'ai eu tellement peur que ça recommence, et que cette fois tu n'arrive pas à temps. J'ai eu peur qu'il fasse à Zoé ce que Ian m'avait fait, avant de finir le boulot sur moi. J'ai eu peur que tu ne vienne pas me sauver. Et là j'ai peur, peur de rêver et de me réveiller dans cette petite pièce avec ce mec en face de moi, près à poser ses sales mains sur mon corps après avoir tué ma meilleure amie, peur que la prochaine fois que j'irai en cour ou faire des courses ça recommence.

- Chut mon ange, tout va bien, je suis là. Je ne les laisserai jamais plus te faire de mal, je ne te laisserai plus jamais seule. Ce n'ai pas un rêve, regarde moi, je suis là.

- Matthews, je t'en prie...

Je trésaille à l'entente de mon nom complet dans sa bouche. Elle ne l'utilise jamais et encore moins avec une voix suppliante comme celle-ci.

- Quoi mon ange ?

- Prouve moi, prouve moi que ce n'est pas un rêve.

Je suis étonné, et je ne le cache pas.

- Comment ?

Pour toute réponse, elle plaque ses lèvres sur les miennes.

! Lemon ! (La fin sera indiqué pour ceux qui souhaitent le sauter)

Surpris, je met quelques secondes avant de répondre à son baiser. Après tout je ne vais pas me faire prier. Elle se déplace pour se placer à califourchon sur mes genoux et entreprend des passer ses mains sous mon t-shirt. Le contact de sa peau sur la mienne me brûle, ma peau me rappelle sans cesse les endroits où elle a posé la sienne. Mes mains, placées sur ses hanches, remonte progressivement sous son pull, laissant des frissons sur sa peau. J'adore l'effet que je lui fait. Je descends mes baisers sur sa mâchoire, dans son cou, m'attardant volontairement afin d'y laisser quelques marques. Au moins ses admirateurs seront prévenu qu'elle m'appartient. D'un coup de rein expert, je nous retourne, la laissant allongé sur le lit, me plaçant au dessus d'elle. Je descend mes baisers plus bas, au moment où je remonte son pull plus haut. Ses mains passe de mes cheveux à mon dos, sa respiration s'accélère. Mes lèvres ne quittent sa peau que le temps de lui retirer ce gros pull que je considère comme gênant. Elle est maintenant en soutif devant moi, et la vue de son corps parfait ne me déplaît pas, au contraire. Les cicatrices sur son ventre me rappelle ce fameux jour, mais ne m'arrêtent pas, au contraire. Mes baisers continus jusqu'à la commissure du balconnet, où je laisse ma langue titiller la peau blanche de ma douce Lucy. Mes mains caressent ses reins, avant de se poser sur son postérieur, que je m'empresse de masser. Un gémissement s'échappe de ses lèvres, signe que mes caresses et ma langue, à présent près de son nombril, ne la laisse pas indifférente. Jugeant certainement que la situation n'est pas égalitaire, je sens ses petites mains tenter de retirer le t-shirt que je viens d'enfiler. Je m'écarte d'elle, alors qu'elle pousse un petit grognement de mécontentement. Je retire mon t-shirt et laisse échapper un petit rire avant de fondre sur ses lèvres. Le contact de sa peau contre la mienne enflamme mon corps, qui à en juger par le rétrécissement soudain de mon pantalon est plutôt réactif au charme de ma belle. Après un baiser passionné, je reprends là où je m'étais arrêté, et arrive au bord de son pantalon que j'enlève rapidement. Je prends quelques instants pour contempler ce que j'ai devant moi. C'est au moment où mes doigts passent sous l'élastique de sa petite culotte que Lucy à un petit sursaut, je remonte les yeux vers elle et remarque des rougeurs sur ses joues. Elle semble avoir pris conscience de la situation et est soudainement gêner de la tenue dans laquelle elle s'affiche devant moi. Mais par dessus cette gêne, je sens de l'appréhension par rapport à ce qu'elle pense arriver après. Pourtant elle ne dis rien. Elle ne me demande pas d'arrêter. Alors je parle le premier et lui dis à l'oreille.