𝑆𝑒𝑢𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑡𝑜𝑖... [TERMINÉE]

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⚠️ Disclaimer : ce chapitre contient du contenu pour adulte, la lecture ou non de ce chapitre n'entraînera en rien un problème de compréhension plus tard
Ce chapitre est donc facultatif
Merci ♡ ⚠️

/// PDV KILARI

Akari et moi sortions ensemble depuis déjà un mois et demi, je n'arrivais toujours pas à y croire.
Durant ces deux semaines, notre relation avait avancé très vite, la gêne n'était que très peu présente, sans doute car le statut de meilleures amies avait brisé de nombreuses barrières. J'étais devenu accro, à ses baisers, sa présence à mes côtés, ses mains, son sourire... Tout chez elle était magnifique.
Nous nous étions déjà embrassées de nombreuses fois, Akari prenant souvent les devants. J'étais encore effrayée de la brusquer en demandant trop, elle avait donc la possibilité de me faire ce qu'elle voulait car elle savait que rien ne me dérangerait.
J'avais pourtant l'envie de faire ce que mon corps me dictait, réaliser ces fantasmes depuis trop longtemps enfouis, mais elle aurait pu ne pas en avoir envie. Elle m'avait expliqué plusieurs fois sa peur de me faire resurgir de nombreux souvenirs traumatique, je la rassurai en lui disant que les contextes étaient tout à fait différents.

Aujourd'hui, je l'avais invitée chez moi afin de réviser pour les épreuves du bac arrivant prochainement. Heureusement pour nous, nous avions les mêmes spécialités, anglais et géopolitique, nous facilitant grandement.

J'avais pris soin de me préparer un minimum pour ne pas avoir l'air de sortir du lit, un pull rouge et une jupe noire afin d'affronter la chaleur du printemps arrivant progressivement.
Elle sonna à la porte, je me dépêchais d'ouvrir, impatiente de revoir ma bien-aimée.

« Salut, entre, vas-y.

- Bonjour ma chérie.

Elle m'embrassait avec passion, ses bras autour de mon cou.

- Attention ma mère n'est pas encore partie.

- Tu ne lui a toujours pas dit ? Questionna Akari avec surprise.

- C'est difficile, tu sais, je dois lui annoncer que je sors avec quelqu'un pour la première fois...

***

Posées sur mon lit, j'aidais, comme à mon habitude, Akari lors de ses moments d'incompréhension. Nous commencions par la géopolitique, que je dû lui expliquer chapitre par chapitre afin de lui faire retenir chaque date et tous les acteurs principaux.
Au bout de deux heures nous décidions d'arrêter afin de changer de matière.
Mais alors que je me penchais légèrement afin de récupérer un de mes cahiers, Akari attrapa avec douceur mon visage avant de m'embrasser, baiser que je prolongeais.
Elle continuait le long de mon cou et glissait ses mains sur mes bras. La porte d'entrée claqua.

- Je n'arrive plus à me concentrer pour le moment, déclara Akari, un sourire de côté au visage.

- Je crois que c'est maintenant la même chose pour moi.

Elle posa sa main sur ma cuisse, je répondais en l'embrassant de nouveau, elle remontait lentement, me faisant frissoner.

- Tu es sûre de vouloir faire ça ? Lançais-je avec appréhension.

- Je sais qu'avec toi je ne le regretterai pas, et toi ?

- Bien au contraire, et j'en suis désolée.

Elle continua sa lente remontée le long de ma cuisse tandis que je l'embrassais, mes baisers passant de sa nuque à ses épaules désormais visibles, avant de descendre encore plus, ma bouche atteignant sa poitrine. Remarquant cela, elle déboutonna son chemisier blanc, me laissant observer avec envie son corps désormais mien. Mon corps entier devenait fou face à un tel désir, il devenait de plus en plus difficile de me retenir.
Elle glissait enfin sa main sous ma jupe et, d'une main hésitante, commençait un léger mouvement sur ma culotte, me laissant lâcher un gémissement. Je n'étais pas grandement habillée, et pourtant la chaleur qui m'habitait devenait insupportable, mes soupirs étaient brûlants et mes baisers ardents. Seulement séparée de sa poitrine par un soutien-gorge indésirable, je le décrochais et commençais à jouer avec ses seins.
Ses va-et-vient sur ma culotte n'étaient plus suffisants, elle l'enleva et entema le même mouvement avec une pression plus élevée.

Elle bascula en avant, me faisant m'allonger tandis qu'elle, debout, continuait sa progression le long de mon intimité. Une palette de gémissements vifs demeurait dans le creux de ma gorge, retenus par ma main posée sur ma bouche. Ses doigts parlaient plus que ses lèvres, trop occupées à m'embrasser. D'une main, je tenais fermement mon oreiller, comme pour me retenir de partir hors de la réalité. Avec un regard malicieux, elle tendit ses doigts vers moi.

- Je peux ?

La situation me paraissait irréelle, comme tout droit sortie d'un rêve, les mots devenaient bruits et la logique un concept abstrait. Je me contentais de hocher la tête de haut en bas avant qu'elle entame son entrée à travers mon corps. De nombreux bruits mouillés se furent entendre dans la pièce, accompagnés de mes nombreux soupirs de plaisir. Je n'avais jamais atteint seule un tel niveau d'excitation.

- Alors ? N'est-ce pas mieux que toute seule ?

Je hochais la tête.

- Non, je veux t'entendre le dire. Laisse moi écouter ta voix alors que tu dois faire face à mes doigts en toi.

- Je...

- Oui ?

- C'est... Si... Parfait... Bafouillais-je honteusement. »

Elle m'embrassa le front et amplifia ses mouvements, me laissant crier de plaisir.