Chapitre 83 : A bout de nerfs

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*PDV d'Alix*

Ça y est, le jour de notre départ est arrivé, on rentre à Paris. Je viens juste de terminer mes affaires, je rejoins Ismaël au salon.

Ismaël : « Bon bah on va y aller...il sourit.

Alix : J'aurais tellement aimé rester, je souris.

Ismaël : Et moi donc...il sourit. »

On sort dehors et il ferme la maison. Un taxi nous attend juste devant pour nous amener à l'aéroport. Sur la route on reste silencieux, je crois qu'on repense tous les deux à ce qu'il s'est passé pendant ce séjour en Italie. Et quant à moi je me demande déjà comment va se dérouler la soirée d'anniversaire de Gil...J'aurais peut-être dû refuser d'y aller. Trop tard, je ne peux plus revenir en arrière.

**Ellipse du vol**

Quand je rentre chez moi je retrouve ma mère qui s'affaire encore et toujours en cuisine. Elle me prend dans ses bras.

Lucia : « Alors comment c'était ? Elle sourit.

Alix : Génial, je souris, on a bien profité.

Lucia : Bon tant mieux, tu as pu te reposer un peu ?

Alix : Oui ça m'a fait du bien, je souris.

Lucia : C'est le principal, elle sourit, tu manges ici ?

Alix : Oui, en plus je vois que tu t'es donné du mal...je souris en regardant ce qu'elle a préparé.

Lucia : Ça fait deux heures que je suis dessus...elle sourit, ça devrait être bon. »

Elle s'installe en face de moi et on commence à manger.

Lucia : « Je sais que tu n'as pas voulu en parler jusqu'à présent mais par rapport à Ney comment tu te sens ? »

Retour à la réalité imminent, merci maman.

Alix : « Ça va, enfin ce n'est jamais évident comme toute rupture mais j'essaye de gérer ça au mieux.

Lucia : Ça m'a inquiété que tu ne veuilles pas en parler pendant presque un mois...

Alix : J'avais besoin de digérer la pilule tu vois...

Lucia : Bien sûr je comprends. Donc tu ne l'as pas revu depuis votre rupture ?

Alix : Si, une fois à une soirée.

Lucia : Et comment vous avez géré tout ça ?

Alix : On ne s'est pas calculé, comme ça c'était plus facile.

Lucia : Vous avez bien fait, c'était la meilleure des choses à faire. »

Si elle savait la vérité elle changerait certainement d'avis...

Lucia : « Et alors ce collègue de travail c'est juste un ami ?

Alix : Maman...je souris. »

Je la connais par cœur.

Lucia : « Quoi ? Elle rigole, je m'intéresse c'est tout.

Alix : Oui on est juste amis, je souris.

Lucia : Je me doute que tu n'as pas la tête à penser à ça, elle sourit.

Alix : Exactement, on ne se prend pas la tête, je souris. »

Your heart gave me new kind of highsWhere stories live. Discover now