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Ellipse d'unesemaine.

Dans 2 semaines je re-pars à Miami, ça fait maintenant 5 jours que je ne parle plus à LAUREN. Ses lèvres me manquent déjà, je compte bien me faire pardonner. Je monte les escaliers, prend une grande inspiration avant de toquer à la porte. Aucune réponse... Je décide donc de rentrer, en ouvrant doucement la porte, elle là...

-LAUREN ?! M'exclamais-je

L'image que je viens de voir, me laisse sans voix. La chambre, dont je n'y ai pas était depuis 5 jours, complètement ravagée, des objets cassés, retourné, et le pire du pire, Lauren, à côté de la fenêtre, le visage complètement fatigué, elle me regarde, ses yeux sont rouges et gonflés, elle tremble. Ses mains pleines de bleus. Je m'approche doucement d'elle, elle tremble de plus en plus,les larmes coulent sur son visage et sa respiration devient très irrégulière. Je perd pas une minutes de plus et la prend dans mes bras, elle se laisse faire. Elle part en sanglot et je lui chochotte plusieurs fois des ''Je suis là.'' et des ''Désolé...'' je ressert de plus en plus l'étreinte. Je prend une grande inspiration pour sentir si elle a mis son parfum qui m'a tant manqué. Mais, ce n'est pas son parfum...

-Lauren ?!

-Mh ?...

-Tu...Sens la cigarette... Ne me dis pas que tu as fumé ?

-Quand je me sens mal, ça me fait sentir mieux...

-Oh non, c'est à cause de moi, je suis désolée j'aurais pas du réagir comme ça avec toi, j'ai était dures mais comprend le, c'est dur des avoir qui tu es alors que je t'ai détesté... Je suis désolée sincèrement.

-Non Camz, c'est de ma faute, j'aurais du te dire qui j'étais plus tôt. Une larme tombe de son visage. Je ne sais même pas pourquoi j'ai eu peur. De ta réaction peut-être, je ne sais pas plus que toi...

-Je... Je t'aime Lauren. Dis-je en écrasant mes lèvres contre les siennes.

Je m'en foutais du goût de la cigarette, ses lèvres me suffisaient.Il n'y avait pas d'échange de langues, c'était seulement des mouvement de lèvre, ses lèvres m'avaient tellement manqué. Elle ressert l'étreinte, jusqu'à ce qu'on se sépare à manque d'oxygène.

-Je veux plus qu'on se cache quoi que ce soit. Annonçais-je.

-D'accord,du coup... Je dois te dire quelque chose Camzi...

-Qu'y a t'il ? Dis-je commençant à paniquer.

-Je doit te dire, que je t'aime, je t'aime plus que tout.Répond-elle.

Du Virtuel Au Réel.Where stories live. Discover now