Tes lèvres ont toujours panser mes blessures. ( Young Royals )

Chapitre 9: Avec plaisir 💙

Pdv Wille

Je m'affale sur mon lit, cette journée ayant été encore plus longue que prévue. Beaucoup de serrage de mains de sourire faux culs. écouter des vieux riches m'expliquez comment ils sont devenus encore plus riches. Aux bras d'une femme toujours plus jeune.

- Wille, je vais prendre ma douche.

- Hummm. Je me contente de lui répondre.

J'ai toujours détesté ces sorties; ses réunions mondaines toutes plus inutiles et futiles les unes que les autres. Pourtant en tant que prince je n'avais aucun moyen d'y échapper. Surtout quand j'approchais de la vingtaine. L'âge de me marier. Ayant plus l'impression de me retrouver dans le Bachelor. Plus qu'à des repas officiels ou même à des galas pour des associations. Beaucoup de personnes haut placés, dans mon propre pays ou les pays frontaliers cherchent à marier leurs filles. La plupart sont vraiment belles pourtant jamais je ne pourrais épouser l'une d'entre elles. Fixant le plafond. Je sens mes paupières se fermer quand notre lit s'affaisse de l'autre côté. Simon se contente de me sourire ne voulant pas me déranger.

J'essaye de lutter contre le sommeil. Je me tourne vers lui qui joue sur son téléphone me laissant dans mes pensées.

- Simon ? Je chuchote

- Huuum ? Me répond-il sans me regarder.

- Simon.

- Une minute s'il vous plaît.

Il finit son niveau avant de verrouiller son téléphone. Pose ses yeux sur moi un sourire aux lèvres.

- Oui ?

- Je sais que je t'ai promis qu'on discutera ce soir. J'en suis incapable. Je suis beaucoup trop fatigué.

- Je vois ça. Se moque t'il gentiment. Vos yeux se ferment quand vous me parlez. Ne vous inquiétez pas. Je sais que vous tenez vos promesses. Vous avez fait le don que je vous avais demandé pour le gala de Nathanaëlle. Vous avez le reste de la semaine de libre, si vous voulez on peut rester là. Visitez et discutez quand ce sera le bon moment. Prendre quelques jours de vacances vous fera le plus grand bien.

- L'idée me plait bien. À une condition.

- Laquelle ?

- Tu arrête de me vouvoyer quand tu ne travailles pas.

- Je suis toujours avec vous, ça va être compliqué de faire la différence.

- C'est très simple. À partir du moment où on franchit cette porte. Il n'y a plus de prince Wilhelm ou de garde du corps Simon. Juste Simon et Wille. D'accord ?

- Ok.

Je le fixe toujours attendant quelques choses

- Autre chose ?

- C'est mon côté du lit. Dis je penaud.

- Vous êtes.... T'es sérieux ?! Hahaha

- Oui. Je n'arrive pas à dormir quand je suis du côté la.

- C'est mort je bouge pas.

- Je ne t'ai rien demandé. Commençant à grimper et m'étaler de tout mon long sur le corps du bouclé.

- Putain Wille ! T'es sérieux ?! Mort de rire.

- Avec mon côté du lit toujours.

- Bouge t'es lourd.

Pour seule réponse. Je relâche encore plus mes muscles m'alourdissant encore plus.

- Tu veux jouer à ça. Il prend mes épaules dans ses bras pliant une jambe pour attraper les miennes. Il me retourne comme une crêpe. Se retrouvant au-dessus de moi.