Chapitre 6: Billie Eilish 💜

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Pdv Simon 

"Tu" tilt immédiatement mon esprit. Je ne relève pas préférant mettre ça sous la fatigue.

Il finit d'émerger quand j'allume la télé pour y mettre une chaîne musicale.

Le silence me rendait vraiment mal à l'aise. J'avais toujours besoin d'un bruit de fond. Surtout ce soir ou je ne savais pas ou est ce qu'allait aller notre discussion. S'il y en avait une.

Wilhelm se lève pour voir que j'avais déjà tout préparé.

- Je ne voulais pas vous réveillez. J'ai tout préparé en attendant. Une grosse journée vous attend demain. Je voulais vous laissez vous reposer. Pourtant j'ai un peu faim alors je me suis permis de vous réveillez.

- Je vous remercie. Vous avez bien fait. Ne vous inquiétez pas. Pourtant vous auriez dû me réveiller. J'aurais pu vous aidez.

Retour au vous j'avais raison.

- C'est un peu mon travail.

- Non, votre travail c'est de me protéger. Pas de me préparer à manger. Quelle est la vraie raison ?

- Je ne suis pas sûr de pouvoir vous l'avouer. Vous êtes mon patron.

- Ok alors c'est un ordre.

- Pfff ça fait deux ans que je vous connais vous êtes toujours aussi têtu.

- Et moi que je n'aime pas votre ton.

Pourtant ma bite dans ta bouche tu l'a bien aimé je faillis lâché.

- Je vous trouvais juste apaisé. Ça vous arrive peu voir jamais. Serein. Je ne vous avais jamais vu comme ça. Comme je vous l'ai dit, une grosse journée vous attend. Vous laissant vous reposez le plus de temps possible. La prochaine fois, je vous balancerai votre plateau de sushi dans la gueule en guise de réveil.

Nous toisant du regard quelques minutes. Aucun de nous deux ne veut baisser les yeux. Une alerte enlèvement nous sort de notre torpeur. Nous faisant tourner en même temps vers la télé. À la fin de celle-ci on se rend compte que notre embrouille est complètement débile. Nous asseyant en silence pour manger.

- J'adore Billie Eilish lâche Wilhem

- Hein ? je chuchote plus pour moi en redescendant du nuage ou j'etais partis.

Le blond me montre la télé du menton. Ou le dernier clip de la chanteuse tournait.

- Vous êtes humain finalement

- Je ne comprends pas.

- Je peux être honnête ?

- Je crains le pire mais vous l'avez déjà été tout à l'heure alors continuez dans cette lancée.

- Réellement ? Pas d'histoire de ton ou autres... Mes mots seront peut-être crus. Plus que tout à l'heure.

- Je vous écoute.

Je plonge mon regard dans le sien. Pour y voir la moindre contre indication.

Il hoche la tête. Son regard pénétrant mon âme.

- Tant mieux. Si je vous dis ça c'est parce que vous ne souriez jamais. Vous parlez aux gens comme si c'était des arbres. Des êtres vivants mais sans émotions. Vous apprenez à régner sur des gens comme vous. Riche et ne travaillant pas. Je ne dis pas que vous ne faites rien de vos journées. Au contraire. Je vous suis partout, je vois bien que vous faites des choses. Je parle des gens et des héritiers qui n'ont pas besoin de travailler. Qui eux ne font vraiment rien de leurs journées. Je vais prendre un exemple, désolé d'avance. Auguste, votre cousin à hériter de son père. De ce que j'en vois et des nombreuses disputes que vous avez avec lui. Après je n'ai aucune preuve réelle. Peut être que je dis de la merde. J'espère au moins que vous avez compris l'idée globale. Ce qu'on peut appeler le bas peuple, dont moi et ma famille, mes amis ou les autre familles qui travaille dur pour ne pas gagner le quart de ce vous avez. Tout vous semble acquis, dû. Vous ne voyez pas plus loin que le bout de votre nez...

Tes lèvres ont toujours panser mes blessures. ( Young Royals )Where stories live. Discover now