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Je ne sais pas pendant combien de temps je marche dans cette immense forêt. Je ne sais pas où je suis. Je ne sais pas quelle heure il est ni quel jour nous sommes. Tous ce que je sais c'est que je dois retrouvé ma mère. C'est la seule personne qu'il me reste. Le temps est lourd, la pluie na toujours pas cessé de tombé, le sol regorge de balles, quelque plantes sont calcinés. Ça fait un moment que je tourne en rond dans cette gigantesque forêt sans jamais en voir la fin. Je commence à être épuisé mais pourtant je persiste malgré ma fatigue et mes jambes endolori.

Soudain, des pleurs ce font entendre. Elles paraissent lointaine mais proche à la fois. Je suis sûrement proche du village. Je me met alors à suivre les pleures et plus je m'approchais, plus elle s'intensifiait. On aurait dit celle d'un bébé.

C'est arrivé à l'entrée du village, que je vois l'étendu des dégâts... le village est complètement saccagé, les maisons sont brûlés et m'approchant d'avantage j'aperçois avec effroi ce que l'être humain peux infliger d'horribles à son prochain... des corps sectionné, d'autre calciné, empilés les uns les autres, des morceaux de bras, de jambes étaler partout, des femmes nue criblé de balles et j'en passe. Je pleure tant ma souffrance est grande, je pleure tant ma haine est énorme, je pleure tant ma tristesse est immense. C'est en découvrant le corps de ma mère inerte que je réalise. Je me laisse tombé sur mes genoux. Aucun son ne sort de ma bouche, je me contente de pleuré encore et encore. Ils m'ont tout pris, je suis toute seul maintenant il ne me reste plus rien. Elle aussi été nue, son corps est recouvert de sang du visage jusqu'au pied. Seigneur qu'ai-je bien pu te faire pour mériter tous cela ? T'ai-je fait offense d'une quelconque manière ?

À force de pleurer j'ai finis par me faire une raison, elle est partie pour de bon. J'ai saisi un pagne que j'ai trouvé au milieu des cadavres et je l'est recouverte avec. Les pleures ne cesse d'être plus intense. Je me lève alors et continue de chercher d'où proviennent les cris et c'est la que je tombe sur ce bébé, assis au milieu des cadavres je ne réfléchi pas longtemps avant de le prendre avec moi.

...

Après avoir marché de très longues minutes. Je me suis arrêté près d'un cour d'eau pour pourvoir nous lavez et nous rafraîchir. Je retire les habilles du bébé qui ont été sali par le sang. Avant de le plonger dans l'eau. Ce bébé est très beau, c'est un petit garçon, c'est yeux son d'un noir si intense et brillant tous comme sa peau ébène. Il jouais avec l'eau il riait à gorge déployée comme si rien ne c'était passé. Je ne connais rien de lui, ni son prénom, ni son âge. Malgré ça, je me vois en lui. Nous somme tout deux des orphelins maintenant. Lui comme moi n'avons plus de famille nous nous retrouvons livré à nous mêmes. C'est triste n'est-ce pas ? Je ne peut me résoudre à croire que nous somme condamné a souffrir, que nous sommes sûrement maudit, que nous avons sûrement mérité la colère de Dieu.

- Comment tu t'appelle ? Lui demandais-je.

Il ne me répond pas. Bien sûr qu'est-ce que je croyais c'est encore qu'un bébé. Il faut bien que je le nomme ce petit garçon.

- Je vais t'appeler... Ekwata.

Il souris. Ce petit garçon c'est la seule chose positif de cette journée. Il m'a permis de pensée à autre chose qu'à cette horrible soirée. Je termine de le nettoyer, l'enroule dans un pagne et nous reprenons la route.

La nuit a fait son apparition et je n'ai toujours pas trouvé d'endroit pour que nous puissions passé la nuit. Tous les villages au alentour on subit le même sort. Je continue de marché ne sachant toujours pas où je vais. Je finis par trouvé ces immenses feuillage sur le sol, je les prends et les place de sorte à en faire quelque chose sur lequel dormir. J'allonge Ekwata dessus puis je fais de même. Je prie pour que je puisse retrouver une vie normale loin de cette tristesse et cette souffrance puis je finis par m'endormir.

...

J'entends des cris des pleures elle me paraisse éloigné je ne comprends pas c'est une fois les yeux ouvert que je vois avec stupeur Ekwata se faire emmener par des hommes. Je me lève en trombe et cour à sa poursuite quand je reçois un énorme coup sur la tête, je me retrouve au sol le visage ensanglanté et la vision qui brouille. Je l'entend crier j'essaye une nouvelle foi de me relever mais un second coup m'ai portée et tout devient sombre.

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Katyzia - « Dehors c'est la guerre... »Where stories live. Discover now