Katyzia - « Dehors c'est la guerre... »

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Ils m'ont tout pris... je n'est plus Rien, plus personne. J'avais fondé mes espoirs sur Ekwata. C'était lui seule qui me donnais la force de continué. De lutté contre ce gouvernement corrompu. De lutté pour donné un avenir meilleur à ce pays. Mais maintenant je n'en peux plus. Je n'est plus la force. À quoi bon ? Ça ne sert plus à rien. Je n'est plus rien à donné à ce pays, ni même à ce monde. Même mes larmes ne sortent plus. Plus rien n'a d'importance à mes yeux maintenant. Je n'éprouve plus de pitié ou même de tristesse pour quelqu'un. Je ne sais même pas pourquoi je suis encore en vie. Je ne sais pas ce que Dieu attend de Moi pour me préserver sur la terre.

Je n'arrive toujours pas à y croire... ils m'ont pris mon bébé. Ce n'était certes pas mon enfant biologique mais je l'aimais comme si il était sorti de mes entrailles. Je ne comprends pas.. plus les jours passe plus je perd espoir. Je ne sais plus qui croire, je ne sais plus à qui faire confiance. J'en suis même arrivé à voir John et Cherika comme des ennemis. J'ai l'impression qu'il me font croire monde et merveilles pour eux aussi me poignarder dans le dos.

- Katyzia... Commence Cherika. Sort de cette chambre je t'en supplie.

Je l'ignore. Je ne veux voir personne, je ne veux entendre personne. Je veux juste qu'on me laisse tranquille moi et ma haine pour ce monde à attendre que la mort daigne ce présenté à moi.

- S'il te plaît, ça va faire deux moi que tu est enfermé dedans.

Qu'est-ce que ça peut lui faire ? Je peut même resté une année entière si ça me chante. Je l'entend soufflé avant d'entendre ses pas s'éloigner de la porte. Lors de mon hospitalisation, l'infirmière m'a fait part de ses bandits des temps modernes qui kidnappe les enfants pour les vendre au marché noir. À des gens qui sont prêt à payer une fortune pour avoir un enfant sans passé par les orphelinats. Et que selon elle, je n'étais pas la seule à avoir rencontré leurs route. C'était la goutte d'eau. Tous ceux en quoi je croyais à volé en éclats. Un trou béant c'est formé dans mon cœur... Sans m'en rendre compte, ma couverture m'ai enlevé brusquement.

- Ta finis ton cinéma la ! S'exclame John.

J'étais tellement plongé dans mes pensées que je ne l'ai même pas entendu entrée, il me semblais avoir fermé la porte à clé pourtant. Je l'ignore et repose ma tête sur l'oreiller comme si il n'était pas la.

- Arrête avec ta stupide dépression.

-...

- Qu'est-ce que tu crois ? Que resté la a pleuré ça vas les faites revenir ?

-...

- Ils sont tous mort, tous autant qu'ils sont et Rien n'y personne ne pourra les faire revenir !

S'en est trop pour moi. Je ne pouvais plus le laissé parler comme ça de ma famille. Animée par un excès de colère je saisis la lampe de chevet et le lui jette mais il évite. Celle-ci percute le mure, qui lui brise la lampe en un milliard de morceaux. Le verre qui ce trouvé au même endroit, à subi le même sort. Aveuglés par la colère et la haine je ne contrôlais plus mes fait et geste. J'avais juste envie de le blessés, de lui faire ressentir ce que je ressens. Je me lève et fonce tête baissée sur lui le frappant de tout mes force sur son torse imposant. Je frappe encore et encore. Toute les images de ses derniers mois me viennent en tête. Le massacre de mon Village, le corps de ma mère, Ekwata, les soldats, mon viol, ma sœur etc. Je n'en peux plus, j'ai beaucoup trop accumulé ces derniers temps. Les larmes ont finis par sortir. Je déblatérais tout un tas insulte à son encontre. Tout ce que je voulais à ce moment-là, c'était lui faire du mal. Lui ne bougeais pas, il ce contentait de recevoir mes coups. Ce qui me m'étais encore plus en colère.

- BRÛLE EN ENFER JOHN ! TU EST COMME EUX TOUS TU MÉRITE PAS DE VIVRE TOUS ÇA C'EST DE TA FAUTE ! Hurlais-je.

C'est lorsque ma main viens s'écraser contre sa joue qu'il ce décide à réagir. Il saisis mes poignets et me projette contre le mur. Je tente de me dégager de son emprise mais il cimente son bassin au mien bloquant tout mes mouvement.

- Je suis fatigué John... M'urmurais-je à bout de souffle. Tue moi je t'en supplie.

- Non, parce que si tu meurt, tu leurs donnera raison. C'est exactement ce qu'ils cherchent à faire. Ils vous pousse à abandonné pour pouvoir exploité vos ressources comme bon leurs semble. Ils instaurent l'insécurité, la peur et la haine pour vous détourné. Tu est l'exemple même du courage. Tu n'a pas traversé tous ça pour les laissé avoir le dessus sur toi. Maintenant c'est à toi de voir, soit tu choisis la facilité en mettant fin à t'es jours et leur faire le plaisir de saccager ce pays où alors tu te bats et essaye de faire bouger les choses !

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