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JOHN

Il n'est que 3:22 du matin, et pourtant les Colonels nos rien trouvé de mieux que de nous réveiller pour une stupide pseudo réunion "d'urgence". Oui parce que bien souvent leurs réunion d'urgences est bien souvent qu'une opération de surveillance lorsqu'ils décident de ce faire des prostituer sans ce faire remarqué. Cette bande d'idiot aux dents jaunies par l'usage régulier de tabac. Ça ne voles pas haut dans leurs cervelles. Ils me répugnent, je me demande comment j'ai pu être aveugle tous ce temps.

Je termine de fermé le dernier bouton de ma veste avant de quitté ma chambre. Chérika lui, pour je ne sais qu'elle raison n'a pas été appelé. Un sacré veinard. Je me dirige vers la salle à manger quand à ma grande surprise je tombe sur Katyzia. Assise sur une chaise sirotant une tasse de lait chaud. Vêtu seulement d'un débardeur à fine brettelles laissant apparaître la surface lisse et brillante au teint caramel de sa poitrine ainsi qu'un pagne attaché autour de sa taille moulant à la perfection ses hanches. Et bien je me surprend moi même a détaillé sans gêne son corps.

- Tu part ? Demande t-elle subitement me sortant de mes pensées.

Son regard jeté par dessus son épaule l'obligeant à ce cambré légèrement lui donne un aire... aguicheuse.

- Un rendez-vous de dernier minute.

- Tu veut boire quelque chose ?

- Un café s'il te plaît.

Elle descends de la chaise haute mais je ne serais vous dire. Sa manière de descendre avait l'air d'une danse sensuelle. Je ne sais pas peut-être que je suis fou. Je la regarde faire, elle ce penche de sorte à récupérer le paquet de café dans l'armoire du bas. Mais en faisant cette manœuvre, le fin tissu qui la recouvre remonte le long de ses cuisse laissant apparaître le bas de son fessier. Ca serais un mensonge de dire que le paysage qui ce présentais devant moi n'était pas plaisant. Ah Katyzia...

- Tiens. Dit-elle en me tendant la tasse.

- Merci.

Elle s'assoit en face de moi. Son regard porté sur son bol de lait l'air pensif. Elle levait de temps en temps les yeux vers Moi comme si elle s'assurait que je n'avais pas disparu.

- Qu'est-ce que tu fait debout à une heure pareille ? La questionnais-je.

- Le sommeil m'a quitté en cours de route. Rétorque t-elle instinctivement.

- Tu devrais arrêter de pensée toute le temps.

- Plus facile à dire qu'à faire tu sais. Reprend t-elle.

- Je comprends.

Elle porte sa tasse à sa bouche et part ses gardes une goutte de lait dégouline du coin de sa bouche jusqu'à l'intérieur de sa poitrine. Mon Dieu qu'il fait chaud dans cette foutu cuisine. C'est mieux pour moi que je m'en aille.

- Bon Moi j'y vais.

Je me dépêche de finir mon café avant de me lever pour partir.

- Attend...

Elle s'approche de moi, et saisis mon visage de ses deux mains. Surpris de son geste je fronce automatiquement les sourcils.

Katyzia - « Dehors c'est la guerre... »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant