# Partie 43 #

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# Partie 43 #

La porte s'ouvre au même moment et je vois Isaac.

ll rentre, ignore Nûr et me dit:

Isaac : Tout va bien ?

Moi : O....

Nûr : T'es médecin ? 👿

Isaac : On se connaît?

Nûr : J'ai l'air de vouloir te connaître? Arrête de tourner autour d'elle 😡.

Moi : Non mais je rêve! De quoi tu te mêles ? Pars!

Isaac : Je pense que c'est plutôt toi qui devrais partir. Tu ne penses pas ?

Il ignore Isaac, se tourne vers moi et me dit:

Nûr : Arrête de le fréquenter !!

Moi : Je fréquente qui je veux! Maintenant dégage!

Isaac : Tu veux q...

Moi : Laisse c'est bon, je m'en charge ! Attends moi dans mon bureau.

Isaac : Je préfère ici !

Moi : Stp ne t'inquiète pas, je gère.

Isaac : Ok.

Du coup, il commence à avancer et Nûr était sur le point de l'attraper. Mais, ça ne va pas!!

Je me suis interposée et il me regardait tellement mal avec de la rage !

Je n'en avais rien à faire !!!!!!!

Et puis il fait quoi ici? Zahra a peut-être raison! Il est peut-être pour quelque chose concernant Kiari. Il ne l'aime pas, il n'aime personne. Et je lui dis:

Moi : Vas t'en !

Nûr : Je ne bouge pas tant qu'il est là !

Moi : Et pourquoi ? Je n'ai pas besoin de garde du corps! Et d'ailleurs, tu te prends pour qui ? T'es qui ? Tu n'as rien à faire de ta vie ?

Nûr : Ouais je n'ai rien à faire. Si tu ne veux pas que je pète un plomb et que je casse tout y compris lui, c'est mieux qu'il bouge.

Isaac : Tu te prends pour qui ? 😡

Nûr : Et toi ?

Isaac : Je n'ai ni de compte à te rendre ni d'ordre à recevoir d'un mec comme toi ! On dirait un déséquilibré.

Nûr : J'aime être un déséquilibré ! Ne joue pas au plus fin avec moi sinon je te le ferai savoir ce que c'est un vrai déséquilibré

Moi : Nûr, dégage !

Et là, je vois qu'il pousse Isaac et s'installe.

J'étais dépassée du coup j'ai gentiment demandé à Isaac de partir et que je m'en chargerais mais il ne voulait pas. Du coup j'ai insisté et il est parti.

Je ferme à peine la porte qu'il se lève, s'approche de moi et me dit avec un ton énervé .

Nur : T'es stupide à quel point ? Maintenant, tu laisses n'importe qui t'approcher?

Moi : Non mais je rêve! N'importe qui ? Mais c'est toi la pire des personnes que j'ai rencontré dans ma vie et qui me pourrit la vie. Tu ne comprends pas !

Nûr : Je n'en ai rien à faire !

Il attrape ma main pour me faire sortir de force. Je l'ai repoussé et je me suis dirigée vers mon bureau mais c'était pour lui rendre sa fichue clé de merde !

Je rentre, prends mon sac et récupère sa clé. Je sors et il me suit. Je ferme la porte et lui jette sa clé.

Moi : Tiens ta clé ! On est quitte, ne reviens plus jamais ici. Plus jamais !

Sabah « La lumière de mon obscurité »  Où les histoires vivent. Découvrez maintenant