# Partie 120 #

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# Partie 120 #

Aujourd'hui, c'est le grand départ pour notre petit week-end.

Et pour l'occasion, j'ai décidé de faire un petit déjeuner avec mes parents parce que je ne vais pas les voir pendant un petit week-end.

Du coup, nous sommes allés bruncher en famille au même endroit que la dernière fois. C'est devenu notre coin.

Une fois là-bas, on commande, mange et tout. On discutait tranquillement quand mon père me dit:

Papa : Dis moi, ma chérie.

Moi : Oui

Papa : Vous allez avec qui à ce week-end ?

Moi : Je t'ai dit Zahra, Qasim et d'autres amis.

Papa : Hum, juste eux ?

Moi : Oui.

Papa : Tu ne me caches rien p...

Maman : Elle n'est pas une adolescente, laisse la respirer. Elle va en week-end, elle ne va pas s'évaporer.

Papa : Je ne fais rien de mal, je m'assure juste qu'elle va dans de bonnes conditions.

Maman : Tu abuses, Alassane.

Moi : Laisse le, il est inquiet pour sa princesse mais je suis une grande fille, je ne risque pas de me faire mal, tu n'as pas à t'inquiéter !

Papa : Tu pour juste pour un week-end de toutes façons.

Moi : Oui.

Maman : Profite ! À ton retour, on se fera un petit spa entre fille.

Moi : Très bonne idée et vous alors vous avez prévu quoi pour ce week-end ?

Papa : On va peut-être aller dans le sud pour se détendre et se retrouver. Je n'ai pas arrêté avec le boulot, il faut que j'accorde du temps à ma femme.

Moi : C'est une bonne idée. Et le week-end pro, on pourrait aller en week-end ensemble si tu n'es pas trop pris.

Papa : Ah, bonne idée ! Je trouverai de la place pour mes princesses, ne t'inquiète pas pour ça. Tu vas à quelle heure ? Tu as besoin qu'on te dépose ?

Moi : Non, ce n'est pas nécessaire mais merci.

Maman : Profite de ton week-end, détends-toi et pense à toi ok.

Moi : Oui.

Au même moment, Nûr appelle et je leur dis que je vais devoir y aller du coup gros bisou et je les abandonne. Une fois dehors, j'appelle Nûr et il décroche:

Nûr : Pourquoi tu n'as pas décroché ?

Moi : J'étais avec mes parents.

Nûr : C'est bon, les au-revoirs sont faits ?

Moi : Oui. Tu passeras me prendre en bas de chez moi ?

Nûr : Viens en bas de chez Alioune et gare la voiture dans son parking, nous partons en avion.

Moi : Bon ok d'accord. Ça va aller avec l'avion, toi et le monde ?

Nûr : Nous partons en jet !

Moi : Waaa, je vais monter dans un jet pour la première fois de ma vie.

Nûr : Ça n'a rien d'impressionnant, c'est juste beau et confortable.

Moi : C'est normal que tu dises ça, tu en as déjà pris et excuse moi mais moi je n'étais pas une blindée.

Nûr : Tu l'es maintenant, l'héritière des Djikiné, tu vas vite t'y faire. Et puis ton mec est blindé !

Moi : Crâneur !

Sabah « La lumière de mon obscurité »  Où les histoires vivent. Découvrez maintenant