# partie 117 #

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# Partie 117 #

Maria : J'étais inquiète pour vous ! Je pensais que quelque chose de grave était arrivée. Et même si vous en vouliez à monsieur Tandia parce qu'il vous a étranglée, qu'est-ce que moi j'ai avoir dedans ? Je me suis inquiétée pour rien, pour une personne qui n'en avait strictement rien à faire de nous et de moi. Je vous ai réellement considérée vous et la sœur de Qasim et je réalise que j'étais la seule à ne pas être au courant.

Pour le coup, elle a raison. On s'était bien rapprochée en vacances; même si c'est l'assistante d'Alioune, on s'est beaucoup rapprochée.

Moi : Je ne voulais pas te blesser, Maria. Mais je comprends que c'est le cas et j'en suis sincèrement désolée. Ce n'est pas à cause d'Alioune ni aucun de vous ! C'était autre chose de personnelle ! Je te considère autant que les autres; j'en ai parlée à Zahra parce que j'étais seule et je ne savais pas trop quoi faire. Et crois moi, tout ce que j'ai fait, je l'ai fait à contre cœur mais c'était nécessaire !

Et elle se retourne, me regarde avec son visage de boudeuse et me dit:

Maria : C'est bon, je ne vous en veux pas. Aller retrouver votre fou d'homme, je ne veux pas finir chauve. Je voulais juste vous faire un peu chier mais ceci dit, vous m'avez réellement inquiétée. Et une dernière chose !

Et là, je n'ai rien compris, elle a foncé vers moi et m'a prise dans ses bras et m'a serrée super fort. Puis elle dit :

Maria : Bienvenue parmi nous.

Non mais, elle se fout de moi, celle là !

J'étais tellement soulagée, moi qui me sentais mal !

Elle se détache de mes bras et me dit:

Maria : C'est la première et dernière fois que je fais ça ! Aller retrouver le dragon sinon il va débarquer !

Moi : Non mais, toi, ça va pas ! Je pensais tu m'en voulais comme pas possible, vraiment une emmerdeuse ! Je me suis inquiétée pour rien.

Maria : C'est ma façon de vous accueillir, Mlle Djikiné !

Moi : Change un peu.

Maria : Je ne peux pas sinon ça ne sera pas moi. En plus, à cause de vous, je me suis tapée tout votre boulot et la mauvaise humeur de votre petit ami ! J'espère que vous revenez vraiment pour de bon.

Moi : Ça, on verra; déjà on retourne avec les autres. Mais je suis de retour pour de bon.

Maria : C'est ce que je voulais entendre.

Du coup, on est retourné à l'intérieur et je m'installe. Nûr n'était toujours pas là !

Ahlalala, qu'est-ce qu'il fout ?

On était tous là installés et j'étais contente de voir tout le monde. Moïse était tout calme dans son coin donc je vais vers lui et je lui dis:

Moi : Ça va, Moïse ?

Moïse : Très bien et vous mademoiselle ?

Moi : Ça va, merci.

Moïse : Ne vous excusez pas pour moi, je ne vous en ai jamais voulue donc tout va bien de mon côté !

Moi : Merci Moïse ! Mais toi, ça va ? Tu n'as pas l'air de t'amuser.

Moïse : Si, ça va, ne vous inquiétez pas pour moi, je vous assure.

Moi : Ok. Et Alyah, elle va bien ?

Moïse : Oui elle va bien merci.

Moi : Tu ne l'as pas invitée ?

Sabah « La lumière de mon obscurité »  Où les histoires vivent. Découvrez maintenant