# Partie 77 #

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# Partie 77 #

Je me cogne ; je lève alors la tête et là je le vois 😳.

Qu'est-ce qu'il fout là ?

Moi : T'es rentré quand ? Tu ne m'as rien dit ! Tu fais quoi ici ?

Nûr : Ma princesse me manquait ! Je t....

Je ne l'ai même pas calculé, j'étais tellement mais tellement contente que je n'ai même pas réfléchi, j'ai sauté sur lui. Il m'attrape mort de rire et me dit:

Nûr : Je t'ai manqué à ce point 😂 ?

Moi : Imbécile, tu ne pouvais pas donner de nouvelles ?

Nûr : Toi aussi tu m'as manqué ! Contente de la surprise ?

Moi : Bien sûr que je suis contente. T'es arrivé quand ?

Nûr : Ce matin ! C'est nouveau cette façon de s'agripper à moi.

Moi : Oui c'est nouveau et tu vas devoir supporter ça pour ton absence ! Un commentaire ?

Nûr : Aucun commentaire ma princesse.

Moi : Toi aussi, c'est nouveau cette façon de me parler; tu as l'air de bonne humeur.

Nûr : Je suis de bonne humeur quand je vois ma Sabah.

Moi : Ta Sabah hein 😏.

Et je me détache de ses bras et le regarde droit dans les yeux.

Aaah, il m'a vraiment trop manqué. Il me fait un bisou sur le nez me sourit.

Il souriait beaucoup même ; il respirait la bonne humeur comparé à d'habitude. On dirait que cette petite pause lui a fait du bien.

Je ne voulais plus le lâcher ; au même moment, Alioune débarque et crie comme un fou:

Alioune : Woooo ! Omg, c'est quoi ça ? 😱

Du Alioune quoi 😂.

Nûr : Quoi ? 😒

Alioune : Vous vous croyez où ? Ici ce n'est pas la coloc de l'amour !! Et puis Sabah, t'es effrontée devant ton oncle, tu te comportes comme ça ?

Nûr : La ferme, tu n'es pas son oncle ! Contente toi d'avancer ou rince toi l'œil en silence et arrête ton cinéma.

Alioune : Imbécile, c'est comme ça tu me remercies pour t'avoir aidé ?

Nûr : Tu avais intérêt !

Alioune : Et toi, t'as perdu la langue ?

Moi : Non mais il m'a manqué.

Alioune : Sabah, vraiment j'abandonne 😫; plus faible que toi, tu meurs.

Nûr : Et alors ? C'est pour moi.

Alioune : La ferme, toi ; tu ne t'appelles pas Sabah.

Nûr : Et alors ? Je suis l'homme de Sabah.

Moi : 😂😂 Non mais vous deux, ça va pas ! C'est quand vous allez changer ?

Nûr : C'est lui ! Il se mêle de tout.

Alioune : Je suis chez moi, tout ce qui se passe sous mes yeux sera critiqué !

Nûr : C'est chez moi aussi. Si t'es prêt à critiquer, ne te plains pas quand je riposte, fillette !

Alioune : Tu crois vraiment je suis t...

Nûr : Tu parles trop. On y va princesse ; je te dépose.

Moi : On va chez moi ?

Sabah « La lumière de mon obscurité »  Où les histoires vivent. Découvrez maintenant