# Partie 118 #

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# Partie 118 #

Une fois devant la voiture, je monte et m'allonge direct, j'étais vraiment kao.

Nûr : J'ai été long. J'expérimente un nouveau truc parce que te l'expliquer ne sert à rien, tu ne vas rien comprendre ! Et ça demande du temps, de l'observation et de la patience. Désolé si je suis pas là à 100%.

Moi : Je ne t'en veux pas mon cœur, c'est rien, tu as ton boulot, t'inquiète pas. Ça me suffit amplement ce qu'on partage. Si t'es sur un projet, concentre toi dessus, je veux la réussite de mon homme même si c'est le plus riche 😂😂.

Nûr : T'es vraiment kao.

Moi : Pour le coup, oui ! Aller, on rentre ! Tu dors chez moi ?

Nûr : On vas chez moi.

Quand il a dit ça, j'ai direct ouvert les yeux.

Moi : Sérieux ?

Nûr : Oui. Tu ne veux pas ?

Moi : Si si, je veux à fond même.

Nûr : Tu veux passer pendre des affaires chez toi ? Demain, tu bosses.

Moi : Non, je me débrouillerai, je suis épuisée. Si je rentre, je ne voudrai plus bouger; on y va chez toi, aller go.

Nûr : Commère.

Moi : À qui la faute ?

Il démarre et on y va. J'étais éclatée mais vraiment je dormais pendant le trajet. Après quelques minutes, on arrive et à ma grande suprise, il m'a portée comme un petit bébé. Je me suis agrippée à lui comme un koala 😂. Je n'en ai rien à faire, je suis fatiguée.

On était dans un nouveau parking.

Nouveau bâtiment ! Je ne connais pas ici du coup je le lui fais savoir :

Moi : Je ne connais pas ici.

Nûr : Je le sais ! Je ne t'ai jamais ramenée ici.

Moi : C'est beau, j'aime bien.

Nûr : Tant mieux.

Moi : T'es tout timide de me ramener chez toi ?

Nûr : Continue, je te laisse sur le parking.

Moi : Ok, pardon, j'arrête, mon petit chou à la crème 😂.

Nûr : Dors c'est mieux.

Moi : Je suis vraiment trop fatiguée ; merci de me porter, mon porteur préféré.

Nûr : Oui c'est ça !

Moi : Je t'aime Nûr Tandia. À la folie !

J'étais réellement pétée, je racontais de la merde mais totalement. Je ne faisais que l'embêter, il ne me calculait même pas jusqu'à ce qu'on arrive chez lui. Et le mec, genre, il dit à la lumière de s'allumer et elle s'allume !

Et comme j'étais cuite et que ça m'amusait de faire n'importe quoi, je voulais essayer de le faire mais ça n'a pas marché 😂. J'avais les boules ! Il me pose sur le canapé mais je le tire et lui dis:

Moi : Reste avec moi, je veux encore un câlin.

Nûr : T'as quoi à faire l'enfant comme ça ?

Moi : Rien. Tu me manques tout le temps, je veux juste un gros câlin.

Nûr : Je vais me doucher, j...

Moi : Non je ne veux pas. Viens, aller, stp.

Je le tire et il tombe sur moi. Je mets mes bras autour de son cou et il me dit:

Sabah « La lumière de mon obscurité »  Où les histoires vivent. Découvrez maintenant