# Partie 116 #

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# Partie 116 #

C'était vraiment trop trop bizarre, je ne sais pas !

Mais je ne me suis pas attardée dessus.

Pas d'un mauvais côté, loin de là mais on aurait vraiment dit qu'il est apaisé. Je ne sais pas, il me parle posé, pas agressivement, pas comme avant, ça me rend malade de voir un homme aussi complexe et en même temps ça m'attire encore plus. Je ne sais pas, plus il est mystérieux plus tu as envie d'en savoir. Quand je pense que ça fait un an que je le connais, j'ai l'impression de toujours le découvrir.

Au lieu de lui répondre, je le fixais en me demandant qu'est-ce qu'il a pu traverser pour être ce qu'il est, pour être si spécial et surtout qu'est-ce que cache le vrai Nûr !

Qui est le vrai Nûr ?

Est-ce ce nouveau Nûr qui se présente à moi, qui laisse les murs qu'il a dressés contre lui et le monde entier tomber petit à petit ?

Je ne faisais que le fixer et je ne sais pas, je voulais le prendre dans mes bras et lui dire que désormais, lui aussi pourra se reposer et ne plus souffrir. Il remarque que je le fixe et dit:

Nûr : Non seulement, tu ne me réponds pas mais en plus de ça tu me fixes ! Qu'est-ce qu'il y'a ? Tu n'es pas contente avec ce que j'ai dit ?

Moi : Non du tout, c'est pas ça !

Nûr : C'est quoi alors ?

Moi : Je me demande juste l'homme qui m'aime si fort pourquoi m'aime t'il autant ?! Pourquoi est-il prêt à tout pour une simple fille comme moi ? Pourquoi a t'il autant changer depuis notre rencontre ? Qu'est-ce qu'il a pu bien traverser pour qu'il soit si spécial, mystérieux, dangereux et attirant ? Tellement attirant que je serai prête à me jeter dans le vide pour découvrir qui il est dans son intégralité ! Voilà ce que je me dis !

Nûr : Qu'est-ce qui t'arrive ?

Moi : Il ne m'arrive rien, mon Tandia. Je t'aime plus que je ne le pensais et je réalise que je te suivrais peu importe où tu te trouves. Je serai prête à me mettre le monde à dos pour toi, parce que tu es si spécial et unique pour moi ; aucune n'autre personne ne me fait ressentir ce que tu me fais ressentir. Merci de m'aimer si fort sans arrières pensées, sans vices et sans caprices. Merci d'être là et d'être toi.

Je lui disais tout ça en le regardant. Je me demandais à moi même si j'étais normale mais j'étais ivre ! Oui, ivre d'amour pour lui: l'amour de ma vie !

Ça sera lui et personne d'autre !

J'étais à fond dans ma petite bulle quand il a freiné d'un coup, me regarde et me dit:

Nûr : Qu'est-ce qu'il y'a ?

Lui, c'est ça son problème. Le mec croit qu'il n'a pas le droit à autant de compliments, tout est bizarre pour lui !

Je suis amoureuse de toi, qu'est-ce qu'il y'a à expliquer ?

Je lui ai souri, je me suis approchée et je l'ai embrassé. Ahlala, Sabah, t'aimes vraiment cet homme plus que tout.

Il s'est laissé faire. Ah, j'ai peur de me faire prendre mais comment résister ?

On s'embrassait encore et encore ; c'est tellement good. Il s'arrête, me fait un bisou et me dit:

Nûr : Qu'est-ce qui t'arrive ?

Moi : Rien, je suis juste folle de mon homme. Ça te dérange ?

Et là, il me regarde comme un fou et moi aussi. On se sourit et on s'embrasse, nos regards voulaient tout dire ! Après ça, je le smack et il me dit:

Sabah « La lumière de mon obscurité »  Où les histoires vivent. Découvrez maintenant