# Partie 110 #

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# Partie 110 #

C'est un cauchemar, il ne manquait plus que ça !

À cet instant, comment vous dire, je suis restée figée !

J'étais incapable de bouger ou faire quoi que ce soit !

Mon cœur battait la chamade, je ne voulais que faire une seule et unique chose: fuir.

Il était là, c'est lui !

Je n'en crois pas mes yeux !!

Mais qu'est-ce qu'il fait là ?

Comme vous l'aurez compris, c'était Nûr.

Jamais, je n'aurai pu imaginer qu'il aurait pu se pointer ici !

Simina m'attrapait toujours le bras !

Et il avance vers nous sans me regarder et ce tourne pile vers elle et lui répète.

Nûr : Je t'ai dis d'enlever t'es sale patte de son bras.

Simina : Mais ta vu comment elle me parle ?

Nûr : Si je me f....

: C'est bon, retire ta main !

Et je me retourne, je vois la mère de Simina avec Amar, sa femme et qui ?

Alioune !

😳 Qu'est-ce qui se passe ici ?

À quel moment il a débarqué ?

Quand je l'ai vu, nos regards se sont croisés et j'étais autant choquée que lui !

Qu'est-ce qu'ils font avec le père de Nûr ?

Simina lâche mon bras mais moi j'étais tellement sous le choc que je n'arrivais même pas à réagir.

Je voulais juste fuir !

Mon cœur n'arrêtait pas de battre entre la peur, l'adrénaline et la surprise. Je ne savais plus où donner de la tête.

J'ai très vite repris mes esprits et je voyais que Nûr ne me regardait pas, il avait un visage totalement fermé !

Ça me faisait tellement mal mais qu'est-ce que je peux faire ? C'est moi qui ai provoqué toute cette situation.

Je tourne la tête avance pour rentrer à l'intérieur et là, son père me stoppe et dit:

Amar : Tu n'as pas assez fait de dégât pour la soirée pour t'en prendre à mes amies ?

Moi : Vos amies n'ont qu'à bien se tenir et tout le monde serait content.

Amar : Ça tombe bien que tu sois là, j'ai vu que tu connaissais mon amie Awa et sa fille du coup les présentations vont être rapides !

Moi : J'en ai strictement rien à foutre, rester loin de moi.

Et je continue à avancer en l'ignorant et il me dit:

Amar : C'est dommage, je pensais que ça allait t'intéresser de savoir qu'elle allait peut-être être ma futur belle fille.

Pardon ? J'ai mal entendu ? Futur quoi ?

À l'instant où j'ai entendu ces mots, j'avais l'impression de reçevoir un coup de poignard dans le cœur.

Je n'arrivais plus à bouger, je ne l'entendais pas, il ne disait rien pour contredire son père !

Aucune réaction et pourtant ça ne lui ressemble pas. Ça doit être vrai, mais pourquoi ?

Comment ?

Il me déteste à ce point ?

Mes larmes montaient mais je me retenais et il me dit:

Sabah « La lumière de mon obscurité »  Où les histoires vivent. Découvrez maintenant