XXXIII

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"There's no comfort in the truth

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"There's no comfort in the truth. Pain is all you'll find."

𝟐𝟎𝟐𝟎

𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞, 𝐒𝐚𝐢𝐧𝐭-𝐃𝐞𝐧𝐢𝐬 𝟗𝐡𝟓𝟔

C'est dans un doux réveil que mes paupières s'ouvraient dans de délicat papillonnements alors que je regardais tout autour de moi faisant face au décor de la chambre de Tarik, me rappelant que nous avions passer la nuit chez lui ensemble pour la première fois. J'étais bercer par les douces caresses du bout des doigts de Tarik qui se baladaient le long de mon bras ceinturer autour de son bas ventre. Ça faisait du bien de se réveiller naturellement de cette façon, sans réveil. J'étais rassuré et complètement détendue à l'idée de me lever tranquillement, sans aucune pression alors que mon fils dormait chez Nabil. Je n'avais donc pas à devoir mettre un réveil aux aurores pour devoir me lever et arriver à temps avant qu'il se réveille pour qu'il ne se doute pas de mon absence nocturne.

Lentement, je relevais le visage posé jusque-là sur le torse du brun pour lui jeter un coup d'oeil alors qu'il semblait contempler le plafond, le regard encore mi-clos. Signe qu'il ne devait pas être réveiller depuis bien longtemps lui aussi. Me sentant bouger contre lui alors que nous étions à moitié recouvert par cette couverture qui nous tenait chaudement, son attention se portait sur moi lui arrachant ensuite un bref sourire endormi et matinal que je lui rendais. Dans un petit soupire d'aisance, je me replaçais ensuite dans ma position initiale en déposant ma joue contre son torse chaud et nu.

-Bien dormi ? Me questionnait-il d'une voix rauque et endormie

-Très bien, et toi ? Le questionnais-je en retour dans un bâillement que j'étouffais à l'aide de ma main

-Ouais me répondait-il simplement en plantant un baiser sur le haut de ma tête

Sa main jusque-là sur mon bras venait disparaitre sous la couverture pour passer sous mon teeshirt et pouvoir caresser mon dos en-dessous.

-Il est quelle heure ? L'interrogeais-je les yeux maintenant fermés pour apprécier davantage son touché qui m'apaisait

-J'sais pas, j'ai pas regarder.

Non sans un grognement de sa part, je me relevais sur mon coude pour pouvoir me pencher sur son torse et avoir accès jusqu'à la table de nuit où se trouvait mon téléphone. J'allumais mon téléphone où j'y découvrais quelques notifications de messages dont deux de Nabil qu'il m'avait envoyé il y a quinze minutes. Avant de regarder ses messages je regardais l'heure sur l'écran qui m'annonçait qu'il était exactement dix heures piles du matin. Ce qui me rassurait sur le fait que j'avais encore largement le temps de trainer au lit sachant que je devais être sur Paris pour le début d'après-midi.

Je souriais en voyant le message ainsi que la photo que m'avait envoyé Nabil pour légender cette capture de mon fils dormant profondément en plein milieu d'un grand lit deux places qui devait être celui de la chambre d'ami. Son petit corps était échouer sur de grands coussins blanc le rendant presque minuscule au milieu d'eux.

AIMONS-NOUS EN ENFER Where stories live. Discover now