"You know you made an angel cry. You'll regret it 'till the day you die."
𝟐𝟎𝟎𝟒
𝐔𝐧𝐢𝐭𝐞𝐝 𝐒𝐭𝐚𝐭𝐞𝐬, 𝐇𝐚𝐫𝐥𝐞𝐦 𝟖𝐡𝟑𝟒
De douces secousses sur mon épaule me réveillait d'abord dans un grognement avant que je me relève sur mes coudes lorsque mon frère me chuchotait à l'oreille que j'étais en retard. Merde, j'avais loupé mon réveil alors que ça faisait à peine deux mois que j'avais attaquer l'école. Et après je me permettais de faire des réflexions à Cameron sur ses retards ? Comme quoi, j'étais plus trop bien placé.
-Merde, merde répétais-je à plusieurs reprises en attrapant mon téléphone qui effectivement avait bien sonner je l'ai pas entendu, j'ai dû l'éteindre dans mon sommeil ça craint.
-C'est bon panique pas, t'as loupé qu'une heure. Maman a regardé ton emploi du temps et m'a dit de te dire que tu pouvais y aller pour ton heure de math avant midi m'expliquait-il en passant une main dans mes cheveux en repoussant au passage une mèche qui me tombait sur le visage
-Mais c'est dans deux heures.
-Profites-en pour continuer de dormir alors.
Je me recouchais lourdement sur le ventre, étouffant un souffle dans mon oreiller lorsqu'il m'expliquait que ma mère m'avait déjà préparer un bon d'absence pour ces trois heures de cours que j'allais donc louper. Ma mère avait sûrement dû voir que mes heures de cours du matin se résumait à une heure de langue vivante, deux heures de sport et une heure de mathématiques. En revanche sans le savoir, elle m'épargnait d'un bon moment douloureux, de stresse et de mal-être pour moi ainsi que des moqueries de la part des autres durant ces deux heures de sport que j'aurais dû avoir. Merci maman. Même si en réalité ça n'allait pas vraiment changer grand chose, je sentais tout de même mon coeur s'apaiser durant ces deux heures qu'ils me restait avant d'y aller.
-Bon allez pousse-toi, fais moi une place me coupait mon frère en levant ma couette après avoir ôter ses baskets
Ce détail attirait mon attention alors que je roulais sur le côté pour lui laisser un maximum de place. Je le laissais s'installer sur le dos et replier mon coussin que j'utilisais ultérieurement derrière sa tête avant qu'il me fasse signe de me lover contre lui une fois avoir déplier son bras pour m'y inviter.
-T'es sorti ? L'interrogeais-je en lui montrant ses chaussures du regard
Je posais ma joue contre sa poitrine avant qu'il ne referme son bras autour de moi en commençant machinalement et par pur habitude une série de papouilles sur mon bras. De ma main qui n'était pas poser sur son torse je passais mes doigts dans ses bouclettes noires pour les caresser.
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AIMONS-NOUS EN ENFER
FanfictionTarik et sa bambina. Avant les gens la rabaissait, maintenant le public l'acclamait. She never need a man, she's what a man need. But she hated them. 𝐂𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐧'𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐮𝐧𝐞 𝐜𝐡𝐫𝐨𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞. (Ademo)