Tarik et sa bambina.
Avant les gens la rabaissait, maintenant le public l'acclamait.
She never need a man, she's what a man need. But she hated them.
𝐂𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐧'𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐮𝐧𝐞 𝐜𝐡𝐫𝐨𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞.
(Ademo)
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"Breathe for me and I'll breathe for you."
𝟐𝟎𝟐𝟎
𝐂𝐨𝐫𝐬𝐢𝐜𝐚, 𝐅𝐢𝐠𝐚𝐫𝐢 𝐀𝐢𝐫𝐩𝐨𝐫𝐭 𝟗𝐡𝟎𝟔
En pleine discussion avec Tarik que nous partagions depuis que nous étions monter dans mon jet depuis plus d'une heure, nous étions coupés par Paula l'hôtesse qui s'occupait de nombreux de mes vols. Nous tournions tous les deux notre attention vers elle alors que Tarik et moi étions assit côte à côte nous partageant un plaid et toutes sucreries déposées sur nos jambes. À ce détail je ne m'étais pas empêcher de penser à mon ami Rafaël qui aurait pu se tirer les cheveux en me voyant m'empiffrer de cochonnerie mais l'avantage c'est qu'il n'était pas là pour me voir faire. Elle nous offrait chaleureusement son sourire habituel que je lui rendais avant de nous prévenir que nous arrivions et qu'il était temps d'enfiler nos ceintures. J'ôtais mes jambes déposées jusque-là sur les cuisses de mon compagnon de voyage avant de réunir tout le reste des friandises et paquets de chips non ouverts dans la petite corbeille là où tout se trouvait initialement. J'attachais ma ceinture tout comme le faisait le brun à mes côtés avant que je ne vienne déposer ma tête sur son épaule en attendant d'atterrir dans quelques minutes.
Nous avions décoller de Paris pour atterrir plus d'une heure plus tard en Corse pour pouvoir ensuite se rendre précisément à Porto-Vecchio là où nous allions résider dans une petite propriété privée pour les six prochains jours. J'avais enfin réussi à passer le cap et à me séparer de mon fils pour quelques jours, ce n'était pas une tâche facile mais j'avais réussi. En tout cas la tache était bien plus difficile pour moi qu'elle en avait eu l'air pour lui quand je l'avais quitté à l'aéroport de Vancouver alors qu'il partait le lendemain avec Yovanna pour rejoindre mon frère dans sa tournée qui venait de débutée. Ce qui me rassurait car je préférais ça que l'inverse parce que sinon je n'aurais jamais sauté le pas et je ne serai évidemment pas partis. J'avais donc le temps en tant que femme de pouvoir respirer un petit peu, profiter de ces quelques jours de vacances pour me reposer et recharger les batteries avant de quitter cette île pour retrouver Miami puisque je devais participer à cette date où passait mon frère.
Sauf que je n'avais pas vraiment l'esprit à respirer puisque j'allais rencontré René, le père de Tarik. Demain soir.
Ça en était maintenant une certitude puisque Tarik me l'avait confié avant que nous quittions la capitale, la veille alors que nous étions tous les deux couchés dans son lit prêt à dormir. Mais cet aveu ne m'avait donner tout sauf envie de dormir alors que je l'avais laisser tomber dans les bras de Morphée, contre moi tandis que je m'étais mise à fixer le plafond. Me posant un tas de questions jusqu'à m'épuiser l'esprit et m'endormir de longues heures plus tard.
Ça ne servait à rien de penser à part souvent tout détruire et gâcher le moment. Je laissais donc les choses faire et laissait tout ça entre les mains du destin de tout façon je n'avais plus tellement le choix.
