12. T'es qu'un trou du cul!

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ÉCOUTE MOI OKAI 

DEUX CHOSES 

première le gif est jjfdzjdijf s et il se retrouve dans l'histoire donc regarde le bien comme il faut okai merci 

deuxième tu DOIS mettre Anything That's Bad de Deal Casino. Je vais la mettre en lien vidéo si tu es trop paresseuse pour aller la mettre comme ça tu pourras pas dire : oh mais j'ai pas ressenti le chapitre vraiment 

AVEC CETTE CHANSON JE SUIS SÛRE QUE TU VAS BIEN LE RESSENTIR OKAI TU VA SENTIR CE SPECTACLE DE PYROTECHNIE DONT PAX PARLE .

MERCI JE T'AIME OKAI BYE 

Pax. 

J'avais passé la soirée toute seule, dans la chambre, parce que Harry avait traîné avec de vieux copains du lycée et je n'avais pas voulu m'imposer, puisque je ne connaissais personne. 

Bon, je n'avais pas été complètement toute seule, je m'étais bien amusée avec Terri et Nikki avait même rapporté une boîte remplie de beignets qu'un de ses amis qui bossait au Dunkin Donut lui avait donné, mais... Harry n'était pas là et c'était différent. 

Je m'ennuyais de lui, à vrai dire. Ces derniers jours, il était majoritairement resté dans son lit, à se remettre des blessures que le policier lui avait infligé et j'en avais profité pour passer le temps avec lui. Il m'avait raconté un tas d'histoire drôle et de trucs qu'il avait fait, plus jeune et nous avions joué aux cartes jusqu'aux petites heures de matin. 

Et j'avais tenu ma promesse, je l'avais embrassé de nouveau, lorsqu'il s'était senti mieux. Et il avait aussi embrassé mon cou, après que j'aie gagné une des partie de cartes. 

Et voilà qu'il était une heure du matin, environ. J'étais couchée dans ce que j'appelais maintenant notre lit, la tête contre l'oreiller d'Harry alors que je fixais la vieille fenêtre. 

J'avais hâte qu'il arrive et qu'il se couche tout près de moi, c'était le moment que je préférais de toute la journée. Celui où il était près de moi et qu'il me parlait d'un tas de trucs, la voix fatiguée et éraillée, mais quand même enjouée. 

Je pense que Tak avait raison. Je pense que le lien entre Harry et moi devenait de plus en plus fort et puissant, au fil du temps. Après tout, je devenais de plus en plus dépendante de sa présence, jusqu'à m'ennuyer de lui lorsqu'il passait la soirée loin de moi. 

Et j'avais cette envie insatiable qu'il m'embrasse, je voulais toujours qu'il arrête de parler ou de marcher et qu'il m'embrasse. L'endroit importait peu, tant qu'il m'embrassait. 

Je soupirai en m'assoyant dans le lit, avant de décider de me lever et de me rendre dans la petite cuisine. Tout le monde dormait, dans l'Odyssée. Il y avait des petites lueurs qui se faufilaient dans les espaces, sous les rideaux séparateurs, mais il n'y avait pas un son. 

Je coinçai un beignet à la fraise entre mes dents, avant de prendre une serviette en papier et de me diriger dans le petit salon, sur le canapé brun. Je mangeais lentement, espérant bientôt entendre le grincement habituel de la lourde porte blindée, mais il n'arrivait pas. 

Et j'avais envie de rester éveillée, mais plus j'attendais et plus mes paupières devenaient lourdes, menaçant de se fermer à chaque seconde qui passait. 

-Pax? Pax!  

Je grognai en me roulant sur moi-même, parce que le son m'énervait vraiment. 

-Pax! 

-Lâche-moi, murmurais-je en gardant les yeux fermés, me tournant de l'autre côté. 

ParcellesWhere stories live. Discover now