MARIPOSA | T.1 / T.2

CHAPITRE 11: Sans réponses.

Hello girls, ça-va? 🌹

Aujourd'hui je vous laisse profiter du chapitre direct !

(Edit: MERCI POUR LES 100K en 2 SEMAINES BANDES DE OUFS 😨)

BYE 💅🏾 !

Bonne Lecture! 📖

Xoxo - Iamkunafa. 🍓

🂡

MARIPOSA.

— Mignonne ta vengeance.

Côme m'a poussé à l'intérieur de la maison en fermant la porte de la cuisine derrière lui. Mon regard a jonglé entre lui et celui qui s'appelle Robin.

Son regard dégoûté à mon égard m'a vraiment offensé...

— Appel Ryam, tout-de-suite.

— Ouais... Et... qu'est-ce qui se passe déjà ? Préviens quand tu passes Côme j'allais te tirer dessus.

Il a levé la main en nous présentant une arme qui ressemble justement à celle du détraqué. J'ai reculé d'un pas par réflexe mais c'était sans compter la poigne déterminée de Côme qui allait me laisser aller nul part.

Je n'arrive toujours pas à réaliser qu'il m'a dit de fuir, puis il m'a arrêté en me tirant dessus. La scène de tout à l'heure se matérialise dans ma tête et les frissons qui vont avec me soumettent toujours plus à sa personne.

Le plus grands des détraqué des États-Unis...

— C'est ça. T'as des vêtements ou pas ? Appel-le Robin, je suis sérieux.

Sa voix à été plus que sévère. Le Robin en question l'a très bien compris, il à sorti son téléphone de sa poche puis il a posé l'objet sur la comptoir de la cuisine avec son arme. Nous l'avons regardé taper plusieurs fois sur l'écran:

— C'est bon.

Puis il s'est s'éloigné de nous.

La tonalité à retenti pendant plusieurs secondes. Côme à finit par prendre ce téléphone.

Mais rien.

Messagerie.

Je l'ai entendu juré dans une langue que je n'ai absolument pas reconnue, un genre d'accent slovaque, ouais... Quelque chose comme ça, et je ne m'y attendais absolument pas... Je n'aurais jamais pu soupçonné que le plus grand détraqué des États-Unis soit autre qu'Américain.

Je l'ai fixé le temps de le voir insister sur ce pauvre petit téléphone. Jusqu'à voir l'air renfrogné contracter sa mâchoire en entendant la voix du répondeur. Rien qu'à la pression sur mon bras, je sais qu'il a envie d'exploser l'appareil contre le mur.

Sa main ne me lâche pas jusqu'à qu'il me mène vers le canapé où je sens que je dois m'assoir.

Honnêtement je m'exécute sans aucune résistance, quand il rompt enfin le contact physique je sens une libération au niveau de mes muscles. Je masse la zone qu'il à serré en étant persuadé que j'aurais certainement u bleu.

Mais j'ai beaucoup trop faim, trop soif, trop envie de faire pipi pour penser à autre chose que mes besoins primaires...

Je n'ai pas eu un repos décent depuis cette nuit où j'ai pris le train. Où j'ai vu mon père...