CHAPITRE 17: Kill me, Mariposa.

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Hello mes barbies, ça-va? 🌹


Je ne suis plus trop active à cause du travail, je finis super tard et ça me fatigue trop en plus 😤 ! J'attends avec impatience de finir ENFIN (Je suis vendeuse pour celles qui m'ont demandé)


Je vous laisse avez la suite ! ❤️




Bonne Lecture! 📖

Xoxo - Iamkunafa. 🍓




🂡






CÔME.





En pleine tête. La balle fait exploser le cerveau tout entier.

Robin réagit très vite et glisse vers petit papillon.

En même temps qu'il ne prenne l'arme de l'homme que je viens d'exploser. Je ne réfléchis plus, un genou au sol, maintenant c'est ma survie avant de penser à ce qui pourrait arriver. Alors je fais fuser ces balles, mes yeux visent la tête. Et je tire.

Tant que je ne sens pas de douleur en moi, je comprends que ces hommes n'étaient pas préparés à l'éventualité que je n'avais pas vraiment envie de mourir aujourd'hui, leur temps de réaction a été plus long. Trop long malheureusement pour leur vie, heureusement pour la mienne.

Alors les corps tombent sous ma menace. Et sous les balles de Robin qui me couvre.

Ma victoire m'excite au plus haut point. J'aime que les choses se passent encore mieux que prévu, sans blessures, sans perte. J'en termine très vite avec ces fumiers.

Nous les tuons tous. Sauf un seul.

Ce fusil se baisse sur sa jambe. Je vois dans son regard la détresse de son envie de vivre, il lève les mains au ciel en signe de repentance en faisant tomber son arme, sa tête s'agite pour me dire: "non".

On ne me dit jamais non.

Ma balle explose littéralement son fémur à cause de la puissance de l'arme.

Il s'écroule au sol en gémissant de douleur. En glissant vers lui, je crache le sang encore frais dans ma bouche avant d'essuyer mon menton. Je prends son arme, un u.s Army, en vérifiant le chargeur je vois que cette arme ne comporte qu'une seule balle.

Pas très professionnel les dupek.

Mes yeux retrouvent ce casque noir. Cette fois-ci je veux tout savoir. Qui ? Comment ? Pourquoi ? Et quand ça risque de réellement partir en couille.

Ma main retire le casque et les traits de l'homme au sol me semblent latino. Il est jeune, à croire que dans leur petite organisation ringarde ils n'embauchent que des puceaux.

Je pose tout de suite un genou sur son thorax, l'étouffant presque. Malgré la froideur du matin, il transpire déjà à grosses gouttes, ses yeux me supplient, je vois, de petites larmes de détresse. Mais c'est trop tard pour les regrets. À sa place je n'aurais pas osé. Ses poumons essayent de récupérer de l'oxygène, ça se voit que c'est la douleur qui accentue à ce point son souffle.

— Qui vous envoie, demandais-je calmement.

Son visage est tellement rouge que ça me donne envie de le gifler pour qu'il récupère vite ses esprits.

Mon pouce s'enfonce dans son fémur pété. Le hurlement qu'il pousse m'ennuie à un point pas possible. Ça m'a déjà saoulé de parler avec lui.

MARIPOSA | T.1 / T.2Where stories live. Discover now