MARIPOSA | T.1 / T.2

CHAPITRE 26: Paralysie.

Hello les girls, ça-va? 🌹

Bon... Je vous cache pas que là, je suis en plein dans un mental break-down de l'écriture comme tous les quatre matins quoi vous commencez à me connaître 🥲... Là, je poste par dépit ce chapitre j'ai essayé de l'écrire 500 fois y'a aucune version qui me plaisait donc naka poster, et je vais me cacher parce que je veux pas lire tellement j'ai chaud...

J'ai même pas répondu aux derniers commentaires, j'avais dit j'allais répondre en plus 🥲... Je suis vraiment pas dans mon assiette livresque la...

Je vous laisse avec la suite ! ❤️

Bonne Lecture! 📖

Xoxo - Iamkunafa. 🍓

🂡

MARIPOSA.

Je l'ai regardé une belle petite seconde. J'ai tiré mon bras pour me libérer de lui mais j'ai froncé les sourcils en constatant que sa force est tout à fait active sur mon poignet. J'ai eu beau tirer et essayer de lui enlever ses doigts autour de ma peau, il me condamnait à sa personne.

J'ai cru qu'il faisait semblant de dormir au début.

J'ai relevé les yeux sur son visage extrêmement surprise. Il joue à quoi là ?

Une nouvelle fois j'ai tiré sur mon bras, mais j'étais sûre qu'il ne me laisserait pas partir !

Ma main a voulu toucher l'arme qu'il tient dans sa paume gauche. Je me suis senti blêmir sous le contact du métal frais. Mais en tirant violemment sur mon poignet et le canon, j'ai enfin réussi à me libérer sans reprendre cette arme. Sauf que c'est à ce moment-là qu'il a décidé d'ouvrir les yeux dans un soubresaut qui a penché son corps vers l'avant, pendant que moi au contraire j'ai sursauté dans un mouvement de recul, je me suis affalée sur le dos contre la portière en appuyant le bras sur la surface du tableau de bord.

De nouveau le bruit de la pluie et du tonnerre grondant me ramène sur terre. L'espace confiné nous oppresse. Je me rassois un peu plus décemment en même que Côme baisse les yeux quelques secondes sa plaie saignante. Je vois dans la grimace de son visage que la douleur continue de le torturer. Ses doigts finissent par baisser son pull sur la blessure. Il ne dit rien, il a juste l'air de se diriger vers une morte lente et douloureuse.

Son dos s'enfonce sur son siège en expirant bruyamment par la bouche... Ses poumons se gonflent très rapidement. Et quand il referme les yeux, prise de panique de voir la mort soudaine devant moi ma main secoue vivement son épaule.

Son bras tressaute surpris, je retire très rapidement mes doigts sur lui quand son sourcil se fronce en tournant la face vers moi. J'ai presque l'impression qu'il est surpris de me découvrir toujours là.

Aucune parole n'est prononcée encore une fois il n'y a que les gouttes qui tombent contre le pare-brise qui accompagnent la gêne qui nous unit.

Finalement il détourne le regard pour baisser le pare-soleil devant lui. Il regarde son visage avec une certaine nonchalance et à son tour il essaye d'essuyer le sang qui a séché sur son visage de la même manière qu'il l'avait fait pour moi.

Sans trop de succès alors il remonte violemment le pare-soleil.

— Tu sais conduire ?

Sa voix est bien plus basse que d'habitude. Il ne m'a pas regardé en prononçant ces paroles, en fait sa main est déjà sur la poignée intérieure.