"À la fin des fins
La sensation que rien n'en vaut la peine déchire les personnages du soleil
Le regard perdu
Qui aurait la certitude de se garder comme neuf
Quand le cœur est traître
Changeant de couleurs comme un phénix changeant de plumes
Et nous mortelles sans garantie
On suffoque derrière les murs de la loi
Sur un fil aussi fin qu'un cheveux
Il ne traversera que le bon aux remords aiguisés
Je traverse ma ville comme un fantôme ayant vécu des centaines d'années
Je regarde les gens et je les comprends comme si j'étais un sage sans péchés
Les cris de mon horloge me submergent
L'horreur de savoir que personne n'a le temps
Et je passe ma vie comme si j'avais l'éternité gravé dans mon destin
Je garde en moi une âme qui prétend avoir errer les cieux et les galaxies
Et derrière mes feuilles noirs se cache une vérité aussi moche qu'un être sans once de merci en lui."
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«12 𝑺𝑨𝑰𝑺𝑶𝑵𝑺 𝑫𝑬 𝑴𝑰𝑵𝑼𝑰𝑻.»
Poetry"𝐿𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑔𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑'𝑢𝑛 𝑎𝑟𝑡 𝑎𝑚𝑏𝑢𝑙𝑎𝑛𝑡." { 𝑅𝑒𝑐𝑢𝑒𝑖𝑙 𝑑𝑒 𝑡𝑒𝑥𝑡𝑒𝑠 } Au milieu d'un océan étranger, une bouteille en verre couverte de vagues agitées, traversait l'inconnu, voyageait sous les...
