Dans le chaos de ma musique
Mes pensées s'élèvent
Tellement haut, que les cris ne sont que murmures
Dans le rouge de mon cœur
Et l'orange de mon feu
Mon désir n'a de couleur
Dans ce champs doré, déserté d'âmes
Les diamants au dessus de ma tête
N'éclairent que le noir de mon regard
Errant ces ruelles de Rome
Aux histoires fictives
Cette eau troublée, au vécu des
martyres
Gardant les séquelles de l'humanité noyée
Je fus piégée d'un art dramatique
Les clés en fumée et mes muses en mirages
Mes masques en plumes et mon encre en peine
Parfois, j'admets que le manque vient des souvenirs d'antan,
D'une personne habitée de passions orageuses et de paroles dévastatrices
Sur les bords du gouffre, à l'abri des regards
pantelante, le souffle coupé et le cœur compressé
L'impression d'être enterrée alors que l'air me fouette d'une telle force
Aussi claire que l'eau et doublement dangereuse
L'amertume de la chute et l'envie de rejoindre le ciel
Que choisir ?
Entre la moralité et la mortalité il n'existe qu'un mur aussi fin que le miroir qui projette mon reflets
Je me grave la mémoire dans les arbres à portée
Par peur d'être oubliée
Délaissant ma tragédie pour l'héritage de mon art
Ceux qui vont me précéder sauront voir en mes lignes un vécu non raconté.
VOUS LISEZ
«12 𝑺𝑨𝑰𝑺𝑶𝑵𝑺 𝑫𝑬 𝑴𝑰𝑵𝑼𝑰𝑻.»
Poetry"𝐿𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑔𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑'𝑢𝑛 𝑎𝑟𝑡 𝑎𝑚𝑏𝑢𝑙𝑎𝑛𝑡." { 𝑅𝑒𝑐𝑢𝑒𝑖𝑙 𝑑𝑒 𝑡𝑒𝑥𝑡𝑒𝑠 } Au milieu d'un océan étranger, une bouteille en verre couverte de vagues agitées, traversait l'inconnu, voyageait sous les...
