Ensorcelée,
Je n'ai rien vu venirC'était bien avant
Personne ne connaissait personne
Aucune attacheLes sourires étaient simples
Les odeurs étranges
Les vécus inconnusPuis les nuits ont débarqué
D'un charme d'été
Promises de secretsOn était que des gens comme tant d'autres
Hélas, la poésie du soir nous a charmésOn a délivré ce que le jour craignait le plus
La vulnérabilité
La transparence
L'âme pure sans filtreL'amertume de nos anciennes solitudes s'était évaporée
Et a laissé place à un nouveau sentiment d'apaisement
De vérité
De se sentir à sa placeÇa n'avait aucun sens
Mais on y voyait clairement
Les cicatrices étaient appréciées
Ça n'avait rien d'ordinaire
C'était hors normes de s'aimer en une seconde d'honnêtetéOn était tellement ravagés à l'intérieur
Que la fraîcheur de ces nuits adoucissait les pointesOn n'aimait pas les notes de la fin
Alors on a continué de jouer jusqu'à ce qu'on a saigné
Et Ô que c'était bon de se sentir vivre à nouveauÇa faisait mal de sourire
Mais on guérissait et ça faisait du bienEnsorcelés par une réalité absurde
Quelle beauté digne pour s'y perdre.
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ŞİMDİ OKUDUĞUN
«12 𝑺𝑨𝑰𝑺𝑶𝑵𝑺 𝑫𝑬 𝑴𝑰𝑵𝑼𝑰𝑻.»
Şiir"𝐿𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑔𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑'𝑢𝑛 𝑎𝑟𝑡 𝑎𝑚𝑏𝑢𝑙𝑎𝑛𝑡." { 𝑅𝑒𝑐𝑢𝑒𝑖𝑙 𝑑𝑒 𝑡𝑒𝑥𝑡𝑒𝑠 } Au milieu d'un océan étranger, une bouteille en verre couverte de vagues agitées, traversait l'inconnu, voyageait sous les...