Auprès des fontaines des adieux
Les pianos nous pleurent
Les violons nous crient
Tout un tas de mélodies
Pour deux inconnus sans prénoms
Se souriant le temps d'un instant
Et s'oubliant pour l'éternité
Au seuil des arbres
À l'abri des regards des anges
Deux flammes risquaient de tout chambouler
Mais la pluie s'est déchaînée pour calmer les ardeurs
Une soudaine fraîcheur sur ces déserts bouillants
Une lune qui combat les lumières
Quelques chevaliers abattus
Et la guerre des fantômes ne cessa
Le cœur parlant de ses crimes envers l'amour
Et la haine lui bande les poignets
Enterré dans un silence des vivants
Tout ce qui charme s'est évanoui
Quelques notes de piano dans l'air
Et de la pluie sur les visages
Quelques notes de mélodie enchanteresse
Et des griffures sur les muses
Quelques gouttes de pluie sur la tête
Et un adieu sans explications
Quelques rires échappés
Et un silence assourdissant.
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«12 𝑺𝑨𝑰𝑺𝑶𝑵𝑺 𝑫𝑬 𝑴𝑰𝑵𝑼𝑰𝑻.»
Poetry"𝐿𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑔𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑'𝑢𝑛 𝑎𝑟𝑡 𝑎𝑚𝑏𝑢𝑙𝑎𝑛𝑡." { 𝑅𝑒𝑐𝑢𝑒𝑖𝑙 𝑑𝑒 𝑡𝑒𝑥𝑡𝑒𝑠 } Au milieu d'un océan étranger, une bouteille en verre couverte de vagues agitées, traversait l'inconnu, voyageait sous les...
