𝑪𝒓𝒆́𝒑𝒖𝒔𝒄𝒖𝒍𝒆.

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Parsemée d'un crépuscule des adieux
La journée se dissipe peu à peu de mon être
Le baiser enflammé du soleil laisse place à une fraîcheur propre à la nuit
Senteurs d'eau salée, et d'un début de soirées lent
Vagues dansantes au rythme du vent enchanteur
Sable caressant le seuil du royaume marin

Je ne me vois pas m'éterniser
Je ne me vois pas m'éterniser même si je parle de ma perte comme une religion
Dans chaque vision sur mes lendemains, je me vois briller aussi fortement que le soleil
C'est ironique que je tiens deux extrémités d'un déséquilibre
Comme un danseur qui ne sait sur quel pied danser.

«12 𝑺𝑨𝑰𝑺𝑶𝑵𝑺 𝑫𝑬 𝑴𝑰𝑵𝑼𝑰𝑻.»Opowieści tętniące życiem. Odkryj je teraz