Ça me frappe comme une vague heurtant les limites
Fissure tout le long de mon corps
Se laisser noyer
Se laisser couler
Par tout le flot d'émotions entassées
Je vois les couleurs me quitter
Le ciel pleure ses nuages
Et je bois de mon mirage
Sous l'eau ou sous terre
À l'oubli, je crie
L'aise de l'habitude qui me quitte
L'harmonie du temps tiquant,
Troquant sa réalité contre l'illusion
Je m'en fou de leurs morales
Les miens ont des valeurs
Je les écoute, mais je n'en fais qu'à ma tête
Loin d'être narcissique juste réaliste
Un peu de vérité que je m'injecte
La douleur ne s'estompera guère
Je me connais, mais celle que je vois dans mes secrets me fait tourner la tête
J'ignore sans conséquences
Ma cause sans assaillants
Je prétends à m'être comprise
Juste pour la paix qui m'enlace
Demoiselle m'a t'on appelé
Laisse-toi faire m'as t'on conseillé
Une femme sans homme ne connaîtra que malheur, on a essayé de me persuader
Mais tout ce que j'ai vu, c'était du noir
Avec pour seule lumière des femmes chevalières
Je connais la solitude
Leur blabla incessant n'est que silence à mes oreilles
J'ai pris ma propre main et vers la gloire, je m'y suis entraîné
Pas même leur ordres m'ont stoppé
Les meutes connaissent leur maître et moi, je connais la mienne.
JE LEEST
«12 𝑺𝑨𝑰𝑺𝑶𝑵𝑺 𝑫𝑬 𝑴𝑰𝑵𝑼𝑰𝑻.»
Poëzie"𝐿𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑔𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑'𝑢𝑛 𝑎𝑟𝑡 𝑎𝑚𝑏𝑢𝑙𝑎𝑛𝑡." { 𝑅𝑒𝑐𝑢𝑒𝑖𝑙 𝑑𝑒 𝑡𝑒𝑥𝑡𝑒𝑠 } Au milieu d'un océan étranger, une bouteille en verre couverte de vagues agitées, traversait l'inconnu, voyageait sous les...
