Je regarde le ciel
La tête pleine de souvenirs
L'âme évoquée de réminiscence
D'égoïsme et beaucoup de solitude
Un enfant à la morale trop sanglante
Des observations piquantes
Et un jeu d'enfer
Stratégie sous l'oreiller
Comme si l'air n'était qu'une guerre
Un peu de oui et beaucoup de non
L'attitude impossible
Le caractère trempé dans du diamant
Pas acquise, et le peu qui tournent sont de belles lunes pendantes
Dans un monde à part
Où mes pensées me font du mal
Je vois vos visages mais je n'entends que du bourdonnement
Dites ai-je les yeux cernés?
Les lèvres cousues et le torse ouvert?
Un moment de flottement
Le silence mon bourreau
La mémoire qui se languit au fil des jours qui me séchent les sentiments
Un hiver sans fin où ma chaleur s'est enterré les bras couvrant un cœur non battant
Je sens des mains essayer de me faire sortir de ma folle transe
De me retourner au monde des vivants
Mais j'ai de la peine et je me chagrine pour le sourire d'antan, celui que j'irradiais la vérité avec
La main qui a trahit ma faible volonté
Et le mensonge qui a charmé mon âme endiablée
En chagrinant ma propre perte
J'avais choisi le plus mauvais des poisons
Celui qui me tua lentement
Me pourrissant mon blanc éblouissant
En quête de rédemption j'ai fini par prendre la mort vivante comme solution
Le fait de se tuer pour un peu de légèreté
Se ruiner des plus cruelles des manières
Car après tout, qui a vraiment le courage de regarder droit dans les yeux l'innocence et la tuer ?
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«12 𝑺𝑨𝑰𝑺𝑶𝑵𝑺 𝑫𝑬 𝑴𝑰𝑵𝑼𝑰𝑻.»
Poetry"𝐿𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑔𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑'𝑢𝑛 𝑎𝑟𝑡 𝑎𝑚𝑏𝑢𝑙𝑎𝑛𝑡." { 𝑅𝑒𝑐𝑢𝑒𝑖𝑙 𝑑𝑒 𝑡𝑒𝑥𝑡𝑒𝑠 } Au milieu d'un océan étranger, une bouteille en verre couverte de vagues agitées, traversait l'inconnu, voyageait sous les...
