Chapitre 148

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Carlos était rentré dans sa chambre, et moi j'avais cherché le numéro 316, que j'avais trouvé rapidement et sans bruit j'avais passé la clé magnétique et la porte s'était ouverte, je l'avais entrebailler pour faire rentée le moins possible de lumière et j'avais refermé derrière moi.
La pièce était plongé dans le noir et je ne savais pas me repérer sur le coup la. J'avais fais un pas et dans le même temps j'avais sorti mon portable pour allumer la lampe to..

" Aie, merde"

Je m'étais tapé dans je ne sais quoi, et j'avais pas pu m'empêcher un cris de douleur, j'étais en sandales ouvertes et j'avais taper le petit orteil. J'étais resté bloqué, espèrant que je n'avais pas réveiller Charlie et essayait de voir s'il y avait pas du bruit.

" Oh putain"

Ça avait pas raté, je l'avais réveillé, je ne bougeait pas, et j'avais vu une lumière s'allumait, et j'avais regardé en direction du lit, où j'avais vu Charles regard un peu paniqué et surpris vers moi. Il avait aussi un regard fatigué, ses cheveux étaient en bataille, malgré ça il m'avait souri. Et je le fixais.
Il avait fini par écarté ses bras, pour que je le rejoigne. J'avais quitté mes sandales ainsi que le sweat et j'avais rapidement rejoint le lit et ses bras.

"Je suis désolé, je suis tellement déçu pour toi, c'était la course parfaite et.."

Je ne savais vraiment quoi lui dire, j'étais tellement désolé pour lui, il m'avait serré plus fort dans ses bras, il avait besoin de réconfort.

" C'est tellement dur bordel, c'est tellement oh putain j'y crois toujours pas "

Le pauvre, il avait l'air tellement dégouté, ses yeux étaient tellement tristes. J'avais pris sa main pour la serrée .

" Tu sais qu'il faut des bas pour arriver à des hauts, ça viendra Charles, je te promets, tu sais que tu le mérites, c'était juste pas le moment"

J'essayais vraiment de le consoler, même s'il n'y avait pas tant de chose à dire malheureusement. La voiture avait foiré.

" Et quand ça sera le moment hein ?"

J'avais caressé ses cheveux, le pauvre.

" Ça viendra, tu sais, ils y en a qui attendent des années et des années avant même d'avoir un podium, je sais a quel point ça doit être frustrant, mais, tu sais que c'est pas une erreur qui viens de toi, mais de la voiture"

C'était une erreur de sa voiture, et oui une voiture n'était pas parfaite et elle l'a lâcher au pire moment.

" Oh putain..ça me frustre tellement"

Ouais, ça se voyait bien ouais, mon dieu, le pauvre.

" C'est pas de ta faute, mon amour, tu le méritais, tout le monde la vu, je sais que ça viendra"

Il avait baissé les yeux, le pauvre c'est trop dur. Et j'essaie de le rassuré alors que je ne savais pas quoi dire et que j'aurai été dans le même état.

" Oh merde Charlie bordel...j'essaie de te rassuré, mais, j'aurais été dans le même état, ça doit être tellement frustrant, tellement dur, tellement, putain, quand c'est même pas de ta faute, que tu fais parfaitement ta course et que on te l'a nique, c'est tellement dur. J'essaie de te rassurer mais je comprend tellement ta réaction. Mais, tu sais aussi que ça viendra, tu le sais parce que tu l'a vécu, c'est pas la première fois, et ça sera pas la dernière. Mais ça va, on sait tous que tu vas finir par en gagner, on attend juste le moment. Et tout les fans de Ferrari, tes fans et les Fans de Formule 1 le savent "

Mon Trio Magique / Charles, Pierre & CamilleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant