anime × reader (Commande Fermé)

⁴⁵| Rin (gambling school)

Heyy
☆ commande : Miss_Manga_01 ☆
Sorry mais j'ai pas vraiment aimer gambling school ^w^ donc cette OS ne respecte peut-être pas le caractère du personnage ^-^.
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- Je veux une partie contre vous. Si vous perdez je gagne votre minou, si je perds je dois vous verser 100.000¥ Les deux jeunes filles qu'il opposait éclatèrent de rire.
- Cette pourriture de (t/p) ne vos mêmes pas 100¥s mais d'accord jouons.

La partie commençait et comme l'avait prévu Rin il gagner. Il réussissait même en pleine partie à manipuler les deux jeunes femmes. Une fois la partie de ce jeu si bizarre (NDA : Je n'ai jamais compris leur règle) Rin avait gagné.
- Tu as triché ! S'exclama la rousse
- Non j'ai fait en sorte que vous perdiez, cela n'est pas la même chose. Maintenant écartée vous de mon chemin que je récupère mon prix.
Il s'avança vers toi, vue d'aussi près il était vraiment impressionnant. Il sentait l'homme manipulateur à plein nez. Une fois fasse à toi il se baissa à ta hauteur.
- Relève toi

Tu te remis sur tes deux jambes, une fois que lui aussi était debout, il attrapa la carte qui indiquait ton statut de minou et tira d'un coup sec dessus brisant la chaîne.
- Combien tu dois au conseil ?
- 10.000¥
- Désormais tu leur dois plus rien, mais en échange tu seras mon serviteur.
- Je n'ai jamais demandé ça.
- Tu préfères retourner au stade de Minou et atterrir sous la main d'homme ?

Tu baissas la tête, il avait raison il te rendait un immense service en remboursant des dettes. Mais tu ne savais pas ce qui était le mieux, être un minou ou devoir obéir à cet homme dont tu ne connaissais même pas le nom. D'un geste de la main il te demanda de le suivre. Tu le suivis tête basse.
- Tu n'es plus un minou alors soit fier et garde la tête haute.

Tu relevas la tête non sans rechigner. Il te fit traverser l'école avant que vous arriviez devant un grand bureau.
- Fait comme chez toi.

Alors tu commenças à doucement visiter le bureau. Regardant les poissons dans le grand aquarium. Puis la bibliothèque qui débordait de livre en tous genres. Tu en pris un, tu connaissais se livre et tu l'aimais énormément.
- Cette bibliothèque te plaît ?
Tu ne te retournas pas et fis juste un geste affirmatif de la tête.
- Alors je la laisserai pour toi.
Tu ne compris pas vraiment. Mais tu continuas à feuilleter tous ces livres. Il y en avait pour tenir aux moins 4 ans.

- Tu peux venir t'assoir s'il te plaît. Tu te tournas et t'avanças vers la chaise qu'il te montrait.
- J'aimerais que tu m'accompagnes partout où je vais. Que tu sois là pendant mes paris, même le plus risqué. Que tu m'aides à tricher même quand cela semble impossible. Il accepte tu ?
- Je n'ai pas le choix de toute manière.

Il fit un sourire diabolique.
- Tu as tout compris.

Voilà comment plusieurs mois tu te retrouvas à le suivre dans tous ces parties de jeux. Tu le voyais perdre, puis gagner. Parfois quand la situation était désespérée il te pariait toi. Pariant parfois à un homme une nuit avec toi où juste tes services en tant que "bonne à tout faire". Cela te dérangeait, tu te sentais comme un objet bon à jeter quand on en a plus besoin. Pourtant grâce à toi il avait gagné des dizaines de fois. Alors quand vous étiez de retour au bureau, l'atmosphère se faisait pesante.
- (t/p) ?
Tu ne répondis pas, et ne montras aucun intérêt au fait qu'il t'appelle.
- (t/p) ?
Encore une fois tu l'ignoras. Marre de te voir bouder il s'approcha de toi. Te plaquant contre cette bibliothèque que tu aimer tant.

- Ne m'ignore pas petite chose qui sait ce que je pourrais faire de toi.

Son sourire diabolique se remoula sur ces fines lèvres rosées. Il te regardait dans les yeux, admirant la frayeur qu'il y voyait. Il te faisait peur et il aimait ça, mais bizarrement quand c'était à toi qu'il faisait peur cela avait un tout autre goût dans sa bouche, quelque chose de bien plus amer. Tu n'avais pas confiance en lui sinon tu n'aurais pas peur.

- Dit moi (t/p) te forces-tu à rester ici ?
- Au début oui, mais plus maintenant.
- Que veux-tu dire ?
- Au début vous me fessiez peur, mais finalement j'ai appris à vous apprécier. Maintenant a moi de poser des questions, pourquoi m'avoir choisi moi ?
- Parce que tu avais l'air d'une femme extraordinaire. Et je m'étais pas trompé. Je ne vais pas passer par 10 chemin, je vous aime (t/p)
- Alors commençons par nous tutoyer.
- Je dois prendre sa comme un aveu réciproque ?
- Oui
L'homme que tu aimais s'avança vers toi pour cette fois encore te plaquer à la bibliothèque mais surtout pour t'embrasser de ces douces lèvres.

808mots