Bonjour la populace :D
J'ai décidé (sur un coup de tête) d'ouvrir ce recueil de "×reader". Parce que bon "crusher" sur des personnages fictifs se peut être dure.
Donc dans ce recueil pour quelques minutes j'espère pouvoir vous permettre de les rejo...
Bien le bonsoir Je suis désolé de ma mini absence mais j'ai eu une "mauvaise" nouvelle qui ma assez déprimée. Breffff voila la petit kenma ^^
• Prochain : moi-même je sais pas •
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Tu avançais dans la foule accumulée autour de ses nombreux tableaux. Ta petite taille te permettait de te faufiler dans les petits écarts entre deux corps. Tu étais enfin proche des tableaux, mais deux silhouettes te bloquait l'accès, une grande, un homme aux cheveux d'un noir intense, et une plus petite, un autre homme avec des cheveux blonds décolorés aux racines. - Excusez-moi. L'une des silhouettes, la plus grande, tournait la tête vers avec peu d'intérêt. Mais quand il te reconnut ces yeux brillèrent de malice. - Oh (t/n) tes vacances se sont bien passé. Face au parole de son ami, le blond se tendit immédiatement, rougissant de savoir que tu étais là, derrière lui. Et ta voix résonnait mélodieusement à ces oreilles. - Elles se sont bien passé merci kuroo, maintenant tu peux me laisser passer j'aimerais voir ma classe. Il se décalant, laissant la place pour que tu puisses passer. Tu glissais ton corps frôlant kuroo et Ken ma, tu regardais les différentes listes de deuxième année cherchant ton nom parmi tous. Tu le vis enfin afficher, tu étais en première 6, mais avec aucun de tes amies proche malheureusement. Tu entendis une voix légèrement grave t'appeler. - (t/p) dit moi dans qu'elle classe je suis. Tu longeais une nouvelle fois la liste de noms pour voir son nom affichait dans la liste des premières 4. La voix te demandait si tu étais dans la même classe, comme l'année dernière. Mais quand tu lui répondis, cette voix lâcha un râle de désaccord.
Tu étais enfin arrivé dans ta classe, assise solitairement près d'une fenêtre au fond de la classe, là où les profs ne pouvaient pas voir. - Excuse moi Tu te tournis vers cette petite voix masculine. Tu le reconnaissais immédiatement, Kozume Ken ma, il était dans ta classe l'année dernière. Un jeune homme extrêmement discret, et appart les membres du club de volley il paraissait avoir peu d'amis. Sa voix résonnait à nouveau dans le salle de cours - Je peux m'assoir ici ? Il désignait de son doigt fin mais long la table à ta droite. - Bien évidemment. - Merci.
Il s'assit à tes côtés, sortant sa console, les joues légèrement rougis. Tu descendis ton regard sur sa silhouette fine, il avait l'air peu musclé, mais il avait un très beau corps tout de même. A vrai dire tu ne comprenais pas mes femmes qui souhaitait des hommes grand et musclé. Un homme petit, avec peu de muscle à tout autant de charmes pour toi. Remarquant que tu fixais Kenma depuis aux moins 5 min tu redirigeas ton regard sur ta table en bois. Les années les avaient marqué, quelques dessins avaient était gravée signature d'un élève qui devait s'ennuyer. Après 3h de cours, la pause-déjeuner résonnait.
Tu avais décidé de rester en classe, et ton voisin de table semblait vouloir faire de même. Un petit groupe d'élèves s'approchait de toi, tu enlevais les écouteurs de tes oreilles. Ils commencèrent à te parler joyeusement, et tu leur répondis tout aussi joyeusement, rigolant avec eux comme si vous étiez amis depuis toujours.
Le petit blond lui observait la scène, il avait toujours admiré ta capacité à te faire des amis aussi facilement, comme si tu les connaissais depuis des années. Tu brillais aussi comme un soleil, là où tu passais le bonheur apparaissait. Il avait depuis le premier jour ou il t'avait vue, il était hypnotisé par ton sourire. Cette admiration inconnue était petit à petit devenu une sorte d'amour pour toi. Mais il n'avait jamais osé venir à ta rencontre, malgré son équipe qui le poussait à venir à ta rencontre. Tout le lycée le savait, tu étais une véritable source de bonheur et de joie. Tu acceptais tout le monde à tes côtés, et pardonner toutes personnes qui pouvait te faire du mal. Son regard jaune qui était toujours sur toi, rencontra tes deux pupilles (c/y). À cette rencontre son regard se baissa immédiatement, et quand il le relevait-il rencontrer à nouveau le tien, et un sourire orne ton visage, sourire qui lui était destiné. Ces joues rougissent encore une fois, comme à chaque fois qu'il pouvait te croiser, c'est comme ça que ses amis ont découvert ses sentiments pour toi, tous sauf kuroo.
Il allait vers toi pour venir te parler, il avait enfin le courage. Mais la voix de Kuroo, avait interrompu son courage, le faisant petit à petit perdre tout courage. Il décidait finalement de juste rejoindre son ami, sans te gêner.
Les semaines étaient passé, et il n'avait pas réussi à de nouveau avoir le courage de venir te parler. Tu étais maintenant devenu proche de Kuroo, plus que de lui. Cela le blessait, il le savait à partir du moment où Kuroo te demanderait de sortir avec lui, c'est chance envers toi serait alors de 0. Rien que le fait que tu sois ami avec le brun lui faisait dire qu'il avait plus aucune chance.
Un soir d'hiver où la neige tombait légèrement, créant petit à petit un voile blanc sur le sol, laissant juste les traces de chaussures des nombreuses personnes qui avait fait craqueler la neige sous leurs pieds. Kenma traversé la cour pour arriver à la porte de ton atelier, mais là devant ce petit bâtiment en bois, qui contiennent les dessinateurs du lycée Nekoma. Il y avait toi, et son capitaine devant toi. Il te parlait, tu rougissais avant de lui répondre timidement. Il souriait en te caressant tendrement la tête. Tu aimais donc Kuroo ? Il se demandait comment il avait pu croire que tu l'aimais peut-être lui, maigre, petit, geeks alors que tu étais ami avec Kuroo qui était tout le contraire de lui. Un énorme sentiment de haine s'empare de lui, mais pas de la haine pour son ami ou même toi, mais pour lui-même. Il se détestait grandement, il ne savait pas pourquoi, mais il se mit à courir à travers la neige. Le froid fouettant son doux visage, asséchant ses yeux jaunes. Il courait, chuter dans la neige, se relevait pour repartir vers chez lui. Les larmes dévalaient ces joues pâles, il arriva chez lui, essoufflé et en larmes, mort de froid. Il était dans son lit en boule, pleurant encore mais plus légèrement cette fois-ci. La porte de sa chambre s'ouvrit. - Kenma tu es encore malade ?Il s'agissait de Kuroo. - Kenma répond moi, c'est à cause du froid ? Je dirais au coach que tu ne viendras pas demain à l'entraînement. On a besoin dû - La ferme - Kenma ? - (t/p) mon amour, que je l'aime - Tu racontes quoi Kenma ? - (t/p) my love, je t'aime. Soyons amoureux pour Toujours. Oh oui karoo soit amoureux pour toujours. - Elle ne m'aime pas Kenma. Elle m'a foutu un râteau. Le petit blond fut choqué de la révélation de son capitaine. - Comment ça ? - Je lui ai avoué mes sentiments, elle m'a recalé elle aime déjà quelqu'un. A vrai dire je m'en doutais mais je voulais être sûr. Je la voyais le regarder, toujours essayer de lui parler. Et lui aussi l'aime mais il ne voit pas son amour. Kenma je te jure, à la moindre occasion je te vole (t/p) Sur ces derniers mots le capitaine partie de la chambre du passeur.
Ce dernier se levait précipitamment atteignant sa console. Il prit immédiatement animal crossing et s'envola vers ton île. Il t'y trouva assez rapidement, tu étais toi aussi entrain se jouait. Vous commenciez à discuter sur le jeu, petit à petit il prit son courage à deux mains. 《 (t/p) c'est vrai que tu as mis un râteau à Kuroi》 《Oui》 《Pourquoi tu lui as pas dit oui ?》 《J'aime déjà quelqu'un, et ce n'était pas lui》 《C'est qui alors ?》 《 Tu es vraiment aveugle...》 《Tu m'aimes ?》 《Bien vue Einstein》 《Je t'aime aussi <3》 《<3》
Il éteignait sa console tout en mettant ses chaussures. Une fois amballait dans de nombreuses couches de vêtements il se précipitait vers la sortie.
Et comme tout a l'heure il courait, à toute allure, à en perdre son souffle dans la ville. Le froid frappait à nouveau sur son visage, ces yeux s'asséchaient eux aussi de nouveau, mais cette fois-ci un sourire remplacé les larmes. Un sourire amoureux. Sur le pont qui longeait la ville, il vit une silhouette courir dans la direction inverse à lui. Plus la personne se rapprochait plus il reconnaissait cette silhouette, et la personne d'enfance reconnaissait aussi le petit blond.
Alors sous un lampadaire où vous vous étiez rejoints, vous vous fixez, amoureusement avant que tu attrapes c'est joué pour tirer son visage vers le tien. L'embrassant doucement sous les flocons qui donne un romantisme certain à la scène.
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